Diplomatie : Jean de Dieu Mitima nouvel ambassadeur de la RDC en République centrafricaine

Kinshasa, 12 décembre 2024 (ACP).-Une séance de sensibilisation liée aux notions environnementales à l’intention des élèves de la ville de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, est programmée le 18 janvier 2025, axée sur la gestion de l’environnement et le développement durable, a-t-on appris jeudi de source associative.
Pour Matendo, qui est également auteur du livre « Eco-Eleve », on ne peut pas traiter les problèmes environnementaux sans associer les élèves qui jouent un rôle prépondérant dans la protection de la biodiversité.
Eu égard à ce sujet crucial, il a annoncé la sortie officielle de ce document pour contribuer à l’intégration des notions environnementales en milieu scolaire, une initiative qui concerne l’avenir de la planète décimée par l’effet entropique.
Il a, en outre, invité les personnes de bonne foi à l’assister pour l’organisation de cette séance de sensibilisation liée à la protection de l’environnement.
Pour Matendo, aussi étudiant en sciences et gestion de l’environnement à l’Université de Kinshasa, l’objectif poursuivi par son association est de lutter contre les pollutions, de sensibiliser les élèves aux questions environnementales, etc.

Dans son allocution lors de l’échange des vœux avec le corps diplomatique, le président Félix Tshisekedi a évoqué l’épineuse question de la tenue d’un éventuel dialogue avec les rebelles du M23 soutenus par l’armée rwandaise.
De pied ferme, Félix Tshisekedi a indiqué que dialoguer avec le M23 est une ligne que la RDC ne franchira pas.
«Le dialogue avec un groupe terroriste comme le M23 est une ligne rouge que nous ne franchirons pas », a-t-il déclaré.
Le chef de l’État Félix Tshisekedi a, à cette occasion, réitéré sa confiance à l’armée congolaise pour éradiquer toutes les forces négatives qui sèment terreur et désolation dans la partie Est du pays, dont l’armée rwandaise et ses supplétifs du M23.
Roberto Tshahe

A en croire Joseph Kakisingi, l’idée du projet initial était de prendre en charge les femmes déplacées et des filles.
Des femmes ayant la plupart subi des traumatismes et des viols.”
On faisait les soins chirurgicaux pour des femmes qui avaient des mutilations génitales, qui subissent les violences et toute autre forme de traumatisme et après un accompagnement psycho social pour les soins psychiatriques et psycho-cliniques.
Avec les exigences du COVID, les stratégies ont changé pour atteindre les femmes des coins les plus reculés.
SAD précise que pour être proche des victimes, l’organisation a procédé via des sites dans les villages et territoires de la province du Sud-Kivu.