Trois déplacés du site de Djaiba tués lors d’une attaque du groupe armé CODECO

2025-01-262025-01-262025-01-262025-01-26Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/20-26/denis_mukwege_250.jpgLe Prix Nobel de la paix, Denis Mukwege, appelle la communauté internationale à prendre des mesures concrètes face aux attaques perpétrées par le Rwanda en collaboration avec les rebelles du M23.
Cette rencontre intervient dans un contexte où les combats entre les Forces armées de la RDC (FARDC) et les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda selon plusieurs sources, s’intensifient.
Plusieurs villages du territoire de Nyiragongo et des environs signalent des mouvements de fuite, aggravant une crise humanitaire déjà alarmante.
Denis Mukwege rappelle l’urgence de mettre un terme aux violences et d’apporter un soutien accru aux populations affectées.
Il exhorte les dirigeants mondiaux à adopter une approche ferme et coordonnée pour rétablir la paix et la stabilité dans cette région meurtrie.

« Cette situation nous invite à une réflexion commune.
Il est peut-être temps d’engager une réflexion nationale sur une réforme constitutionnelle, afin d’éliminer les failles qui ralentissent le fonctionnement de notre appareil étatique », a déclaré le Chef de l’Etat congolais.
« Ces délais, bien que contraignants, étaient indispensables pour respecter les échéances et les procédures fondamentales de notre démocratie », a-t-il soutenu.
Depuis l’annonce de cette initiative par le Président Tshisekedi, plusieurs organisations sociopolitiques du pays ont commencé à donner leur position.
Du côté de l’opposition, l’acteur politique Martin Fayulu et ses pairs s’opposent à cette démarche, soupçonnant Félix Tshisekedi de vouloir s’éterniser au pouvoir.

2025-02-032025-02-032025-02-032025-02-03Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/03-09/bart_de_wever_25.jpgPremier indépendantiste flamand à diriger le gouvernement fédéral, Bart De Wever s’allie avec quatre partis pour ancrer la Belgique à droite.
Bart De Wever a promis de durcir la politique de l’asile et les conditions d’obtention des aides sociales pour les exilés, renforcer la sécurité et la lutte contre le narcotrafic.
Un compromis rendu compliqué par l’effort budgétaire et les importantes réformes socio-économiques à mener pour assainir les finances publiques.
Outre la N-VA − dont Bart De Wever abandonne la présidence −, la coalition réunit les chrétiens-démocrates (CD&V) et les socialistes flamands (Vooruit), ainsi que deux formations francophones, le Mouvement réformateur (MR, libéral) et Les Engagés (centre).
« Je suis surpris, c’est dommage », a réagi Bart De Wever, en rappelant que la désignation des ministres était la responsabilité des chefs des partis engagés dans la coalition.