Sommet EAC-SADC : la RDC salue la clarté des décisions adoptées en phase avec le strict respect du principe de souveraineté et de non-ingérence

Dans sa note d’information, il a indiqué une diminution des cas suspects de Mpox, passant de 750 à 641, et aucun décès n’a été enregistré.
À ce propos, il a fait savoir que la tendance à la 51ᵉ semaine, comparée à la semaine précédente, est marquée par une diminution des cas suspects passant de 750 à 641.
S’agissant de la vaccination contre cette épidémie, le cumul de personnes vaccinées est de 55 266, avec une couverture vaccinale de 28 %,” rapporte le compte rendu de la réunion tenue depuis Mbuji-Mayi, chef-lieu de la province du Kasaï Oriental.
Cette décision, annoncée le 28 novembre dernier, découle de la deuxième réunion du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international (2005), tenue le 22 novembre, face à la recrudescence de Mpox en 2024 en Afrique.
Dans sa stratégie de riposte, le gouvernement de la RDC, par le biais du ministère de la Santé publique, de l’Hygiène et de la Prévoyance sociale, s’appuie sur la sensibilisation de la population, la prévention et le traitement pour éradiquer l’épidémie de Mpox.

« Je constate avec amertume que certains médias, comme RFI, Tv5 Monde et France 24, relaient les prétendues avancées des terroristes tout en occultant les exploits des FARDC.
Nous respectons la liberté d’expression et d’information, mais nous fustigeons fermement toute apologie du terrorisme », a-t-on lu dans le compte X du président du CSAC.
« De plus, nous déplorons la diffusion répétée de fausses informations et l’octroi déséquilibré des tribunes médiatiques à ces groupes terroristes.
Ce penchant nous semble contraire à l’éthique journalistique et tend à semer la panique et à amplifier le sentiment d’insécurité parmi les paisibles populations », a-t-il écrit.
Le président du CSAC a annoncé que toute tentative de manipulation de l’opinion ou de glorification directe ou indirecte du terrorisme exposera ces médias à des sanctions exemplaires et sévères.

Kinshasa, 02 décembre 2024 (ACP).- La revue annuelle du Programme de gratuité de la maternité et des soins du nouveau-né en République démocratique du Congo, a été ouverte lundi à Kinshasa afin d’évaluer les progrès réalisés et définir les actions futures, a appris l’ACP de source officielle.
« Cette revue annuelle représente une occasion précieuse pour tirer les enseignements de la première année du Programme de gratuité de la maternité et des soins du nouveau-né ainsi que d’ajuster les stratégies pour son extension à l’échelle nationale », a déclaré le Dr Roger Samuel Kamba, ministre de la Santé publique, Hygiène et Prévoyance sociale.
« Le programme de gratuité des soins maternels et néonataux reste au cœur des priorités gouvernementales pour réduire la mortalité et améliorer la qualité de vie des Congolais », a-t-il encore dit.
Il a aussi salué les efforts constants des prestataires des soins impliqués dans la mise en œuvre de ce programme.
Lancé le 5 septembre 2023 par le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi, ce programme incarne l’engagement du gouvernement à éliminer les barrières financières à l’accès aux soins, notamment pour les mères et les nouveau-nés.