Day: February 10, 2025

Trois interventions ont marqué la cérémonie d’ouverture : celle de la présidente de la Tanzanie et hôte du sommet, Samia Suluhu Hassan, du président en exercice de l’EAC, William Ruto, et du président en exercice de la SADC, Emerson Mnangagwa.
Dans son discours, la présidente Suluhu Hassan a incité ses homologues des deux organisations à se surpasser pour trouver une solution durable à la crise dans l’Est de la RDC.
Pour sa part, le Président en exercice de l’EAC, William Ruto, a insisté sur l’urgence d’agir.
“Je vous demande d’aborder ce sujet avec honnêteté, ouverture d’esprit et flexibilité,” a-t-il conclu, appelant à la solidarité entre les nations africaines.
Lors de ces réunions, les deux organisations ont reconnu et condamné l’implication du Rwanda dans l’instabilité de l’Est de la RDC.

Trois interventions ont marqué la cérémonie d’ouverture : celle de la présidente de la Tanzanie et hôte du sommet, Samia Suluhu Hassan, du président en exercice de l’EAC, William Ruto, et du président en exercice de la SADC, Emerson Mnangagwa.
Dans son discours, la présidente Suluhu Hassan a incité ses homologues des deux organisations à se surpasser pour trouver une solution durable à la crise dans l’Est de la RDC.
Pour sa part, le Président en exercice de l’EAC, William Ruto, a insisté sur l’urgence d’agir.
“Je vous demande d’aborder ce sujet avec honnêteté, ouverture d’esprit et flexibilité,” a-t-il conclu, appelant à la solidarité entre les nations africaines.
Lors de ces réunions, les deux organisations ont reconnu et condamné l’implication du Rwanda dans l’instabilité de l’Est de la RDC.

Trois interventions ont marqué la cérémonie d’ouverture : celle de la présidente de la Tanzanie et hôte du sommet, Samia Suluhu Hassan, du président en exercice de l’EAC, William Ruto, et du président en exercice de la SADC, Emerson Mnangagwa.
Dans son discours, la présidente Suluhu Hassan a incité ses homologues des deux organisations à se surpasser pour trouver une solution durable à la crise dans l’Est de la RDC.
Pour sa part, le Président en exercice de l’EAC, William Ruto, a insisté sur l’urgence d’agir.
“Je vous demande d’aborder ce sujet avec honnêteté, ouverture d’esprit et flexibilité,” a-t-il conclu, appelant à la solidarité entre les nations africaines.
Lors de ces réunions, les deux organisations ont reconnu et condamné l’implication du Rwanda dans l’instabilité de l’Est de la RDC.

Pour les ONG congolaises qui en dépendent, le coup est rude et leur mise à l’arrêt obligatoire très difficile à accepter.
Des organisations qui faisaient des distributions dans des camps de déplacés ont dû tout arrêter, si bien que les gens qui en dépendaient ne savent plus quoi faire.
Alors que la situation est déjà complexe, cet arrêt brutal de l’aide américaine est catastrophique », témoigne celui-ci.
Joint par notre correspondante à Kinshasa, Paulina Zidi, il est le directeur du Forum des ONG internationales, une plateforme qui regroupe 124 organisations internationales impliquées en RDC.
Il est très important que l’aide américaine soit maintenue et que les acteurs humanitaires aient une bonne visibilité sur ce qu’il va se passer.

Pour les ONG congolaises qui en dépendent, le coup est rude et leur mise à l’arrêt obligatoire très difficile à accepter.
Des organisations qui faisaient des distributions dans des camps de déplacés ont dû tout arrêter, si bien que les gens qui en dépendaient ne savent plus quoi faire.
Alors que la situation est déjà complexe, cet arrêt brutal de l’aide américaine est catastrophique », témoigne celui-ci.
Joint par notre correspondante à Kinshasa, Paulina Zidi, il est le directeur du Forum des ONG internationales, une plateforme qui regroupe 124 organisations internationales impliquées en RDC.
Il est très important que l’aide américaine soit maintenue et que les acteurs humanitaires aient une bonne visibilité sur ce qu’il va se passer.

Pour lui, il n’y a plus de temps à perdre et il faut sauver la nation.
“Dialogue, c’est le mot sacré, c’est le maître mot qui peut nous aider à sortir de notre situation actuelle.
Nous trouverons des solutions à nos crises qui durent depuis des décennies en dialoguant même avec ceux-là que nous considérons comme les ennemis.
La nation est en danger, chaque minute qui passe est cruciale, ne perdons plus du temps si nous voulons sauver notre pays”, a plaidé le Cardinal Fridolin Ambongo.
“Abandonnons cette superficialité, et sur la parole de Dieu osons aller en profondeur, la pêche miraculeuse peut se produire si nous adhérons notamment au pacte social pour la paix et le bien-vivre ensemble proposé par la CENCO et l’ECC.

Pour lui, il n’y a plus de temps à perdre et il faut sauver la nation.
“Dialogue, c’est le mot sacré, c’est le maître mot qui peut nous aider à sortir de notre situation actuelle.
Nous trouverons des solutions à nos crises qui durent depuis des décennies en dialoguant même avec ceux-là que nous considérons comme les ennemis.
La nation est en danger, chaque minute qui passe est cruciale, ne perdons plus du temps si nous voulons sauver notre pays”, a plaidé le Cardinal Fridolin Ambongo.
“Abandonnons cette superficialité, et sur la parole de Dieu osons aller en profondeur, la pêche miraculeuse peut se produire si nous adhérons notamment au pacte social pour la paix et le bien-vivre ensemble proposé par la CENCO et l’ECC.

C’est dans ce cadre que le Cardinal Fridolin Ambongo a appelé la communauté internationale à agir et à aller au-delà des simples communications et dénonciations.
“Nous avons plutôt l’impression de ce côté ici que la communauté internationale tient un double langage, la communauté internationale a les moyens de faire avancer la cause de la paix dans cette sous-région.
À la question de savoir, concrètement vous voulez-quoi concrètement des sanctions contre Kigali?
Avec la communauté internationale, c’est aussi une question d’intérêt.
Kinshasa a toujours déploré la passivité de la communauté internationale et de l’Union Africaine dans la crise sécuritaire.