Maï-Ndombe : un jeune meurt foudroyé dans une commune rurale

De pieds fermes, l’ODEP se dit prêt à empêcher ce qu’il qualifie de « trahison » par tous les moyens possibles.
Ensemble, brisons toutes les fausses divisions qui continuent de nous éloigner et unissons-nous dans cette lutte commune », lit-on dans cette déclaration.
Et de poursuivre : « Honte à vous, traîtres et collaborateurs de tous bords, qui appelez à ce dialogue !
De toutes parts, ce dialogue est soutenu par le président Félix Tshisekedi et son entourage, ainsi que les rebelles, qui, par la voix de Corneille Nangaa, ont promis aux Églises de gérer la trahison, un résultat de soi-disant dialogue.
Signalons que cette démarche du dialogue portée par les pères de l’Église catholique et de l’Église du Christ au Congo (ECC), est à moitié acceptée au sein de l’opinion nationale et de la classe politique, tandis que d’autres s’y opposent.

« Avec ce partenariat, la RDC à travers ‘‘Kongo River’’ réaffirme son engagement à promouvoir le dialogue interculturel et à encourager les collaborations entre l’Amérique latine et l’Afrique qui célèbrent à la fois les diversités et les valeurs communes », a-t-on lu dans le communiqué signé Vincent Kunda, président du festival congolais ‘‘Kongo River’’.
Et d’ajouter : «(…) le partenariat illustre comment la culture peut être un moteur de développement durable, d’inclusion sociale et de coopération internationale ».
Et de poursuivre : « cette participation marque une étape clé dans la mission de Kongo River : bâtir des ponts culturels et économiques entre l’Afrique et d’autres régions du monde.
Et de préciser : «cette interaction favorise des stratégies innovantes pour préserver les patrimoines locaux et développer des industries créatives durables ».
«Grâce à des collaborations entre institutions africaines et latino-américaines, l’ONG Kongo River cherche à promouvoir la culture afro-descendant, l’éducation et la recherche scientifique comme leviers d’innovation », a conclu la source.