La ville de Kisangani privée d’électricité, les sites stratégiques alimentés

– L’ouvrage « Vivre pour mourir » de l’auteur congolais Olivier-Sept Ntalaja, dont le baptême est prévu le 09 février prochain, à Kinshasa, en République démocratique du Congo, interpelle le commun des mortels sur la raison de son existence, a indiqué l’auteur dimanche dans un entretien avec l’ACP.
« Ce livre vise à amener chaque lecteur à se poser une question fondamentale : Est-ce que ce que je fais aujourd’hui correspond réellement à la raison pour laquelle je suis venu sur cette terre ?
À l’entendre, « Vivre pour mourir” ne signifie pas simplement exister jusqu’à la mort, « c’est plutôt un appel à découvrir notre véritable mission, à donner un sens profond à notre vie et à l’accomplir malgré les défis et les incertitudes », a-t-il expliqué.
Dans ce livre d’une centaine de pages, l’auteur a proposé une réflexion profonde sur la différence entre une vie réussie et une vie accomplie.
« L’intitulé “Vivre pour mourir” a été choisi comme thème principal, car la vie n’a de sens que lorsque l’on découvre ce pour quoi on est prêt à mourir.

Le président Félix Tshisekedi Tshilombo est attendu à Kananga au Kasaï Central ce lundi 23 décembre 2024.
Des engins de la société Afrimex ont été réquisitionnés pour remblayer les nids de poule et les bains de cochons.
La route principale qui mène vers l’aéroport dépourvue de couche d’asphalte est en partie fermée au trafic en raison des travaux faits à la va vite.
D’autre part, deux camps des hommes de Tshisekedi se font la guerre à Kananga.
Ils s’accusent d’avoir recruté des jeunes désœuvrés pour insulter les uns et les autres lorsque Tshisekedi sera entrain de tenir son meeting.

La Dynamique des groupes de peuples autochtones a procédé ce lundi 30 décembre à la pré-vulgarisation et à la présentation du contenu de la loi numéro 22/030 du 15 juillet 2022, portant protection et promotion des droits des peuples autochtones pygmées en RDC.
Pour le porte-parole de cette structure, pasteur Mukubwa Kastaim, l’objectif de cette activité est la prise de conscience des responsables des services étatiques pour la protection et la promotion des peuples pygmées :« Nous devons normalement pré-vulgariser la loi, parce que la vulgarisation va intervenir l’année prochaine, par la grâce de Dieu.
Et il fallait prémunir les participants de rudiments de cette loi pour qu’ils la comprennent ses chapitres et enlever l’ignorance dans les services de l’Etat et aux membres de la sociétés civile par rapport à la question des peuples autochtones en République démocratique du Congo ».
Il a voulu également que ces agents et fonctionnaires de l’Etat ne tombent sous le coup de la loi.