Caricature : plus de 3 000 morts pour occuper la ville de Goma

De l’autre, les voix réactionnaires insistent sur le fait que le colonialisme et l’impérialisme ne suffisent pas à expliquer les inégalités actuelles, préférant attribuer ces problèmes à la mauvaise gouvernance et à la corruption.
Leurs interprétations divergent, mais ces deux perspectives enferment l’Afrique dans une vision réductrice : la guerre, la violence et la corruption seraient inhérentes aux modes de gouvernement en Afrique.
La paix, la stabilité et le développement… Ces trois mots-slogans, récurrents dans la politique internationale, créent un vide analytique.
Ce processus nourrit constamment un vocabulaire qui a servi à masquer et à simplifier la complexité politique et l’agentivité propres aux Africains.
Une élection « à l’occidentale » biaiséePar exemple, les élections « à l’occidentale » sont considérées par les courants positivistes comme la marque du « retour » symbolique à un État idéal marqué par la paix et la démocratie.

2025-01-152025-01-152025-01-152025-01-15Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/13-19/icone_mpongo_love_reste_dans_les_memoires.jpgLe 15 janvier 1990, la musique congolaise perdait l’une de ses plus grandes voix.
M’pongo Love, à seulement 34 ans, succombait à une méningite cérébrale aux Cliniques Universitaires de Kinshasa, laissant derrière elle un héritage musical inégalé.
Aux côtés d’Abeti Masikini, elle incarnait l’essence même de la rumba et de la musique zaïroise.
Trente-cinq ans (35 ans) après son départ prématuré, M’pongo Love demeure une icône, et sa musique continue de traverser les générations.
Sa voix envoûtante et ses compositions restent un patrimoine vivant pour la culture musicale congolaise.

Lors de la commémoration de la 21ᵉ édition de la journée des étudiants kimbanguistes du monde entier célébrée à Nkamba, Nouvelle Jérusalem, située dans le Kongo-Central, le président de la Dynamique Congolaise des Sports Universitaires (DCSU ), Bovic Kanda Tshimanga, a été béni par le chef spirituel et représentant légal de l’église de Jésus-Christ sur la terre par son envoyé spécial papa Simon Kimbangu (EJCSK)À cette occasion, ce membre effectif de l’EJICSK se dit heureux d’avoir non seulement rencontré « Sa Divinité » Papa Simon Kimbangu Kiangani , mais aussi d’être béni par lui.
« C’est pour ma toute première fois que j’arrive à Nkamba où j’ai accompagné la délégation du cercle des étudiants kimbanguustes et je me réjouis de rencontrer le chef spirituel de cette immense communauté, papa Simon Kimbangu Kiangani mais aussi être béni par lui » a-t-il confié.
À en croire Bovic Kanda Tshimanga, sa rencontre avec Papa Simon Kimbangu Kiangani est non seulement un privilège mais aussi un rêve qu’il a eu naguère qui vient de se réaliser.
Par ailleurs, Bovic Kanda se dit satisfait d’avoir découvert la belle ville sainte de Nkamba, nouvelle Jérusalem, qu’il ne voyait qu’à travers les images.
Pour lui, c’est une découverte inédite, un souvenir inoubliable qui reste gravé dans sa mémoire.