À l’Expo Béton 2024 à Matadi : Energie durable, Elir Odia DG de SOGAZ met en lumière les défis environnementaux – Expobeton Newsletter

La République Démocratique du Congo se trouve confrontée à une multitude de défis, chacun d’eux se présentant comme à la fois urgent et crucial pour le développement harmonieux du pays.
Tous ces défis peuvent, en réalité, être inscrits dans le cadre d’une lutte plus vaste contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, une problématique à laquelle la RDC s’est engagée depuis 2004, mais qui n’a connu que peu d’avancées significatives.
Il n’est pas superflu de rappeler que la recrudescence des violences armées dans l’est du pays serait aussi alimentée par ce fléau insidieux.
Celles-ci doivent constituer des remparts solides contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme au sein de la société congolaise.
Il va sans dire que la sortie de la République Démocratique du Congo de la liste grise du GAFI ne devrait pas être considérée comme le sommet à atteindre.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS), en partenariat avec l’Agence française de développement (AFD), a lancé, mardi 17 décembre, un ambitieux projet de 392 000 dollars américains, pour réduire drastiquement les risques d’épidémies de choléra dans la province du Haut-Katanga.
Ce projet lancé dans les zones de santé de Kafubu et Kipushi survient à un moment critique où cette province est la deuxième la plus touchée par le choléra, avec 4 220 cas et 197 décès, juste après le Nord-Kivu qui enregistre 16 929 cas et 39 décès depuis le début de l’année.
Il sera exécuté en étroite collaboration avec les autorités sanitaires du Haut-Katanga et le Programme national d’élimination du choléra et de lutte contre les autres maladies diarrhéiques.

Le Laboratoire Kontempo invite à une immersion dans un univers où l’art, la poésie et la philosophie se rencontrent pour questionner les récits qui construisent le monde.
Face à l’absence de documents écrits sur l’histoire de l’art contemporain à Kinshasa, les artistes se tournent vers les récits oraux, les proverbes et les cosmologies africaines pour construire de nouvelles narrations.
Le 14, Papa Mfumu’eto 1er et Sim Simaro discuteront sur le « Le texte comme prétexte » et le duo Mukenge/Schellhammer parleront « De l’intraduisible à l’esthétique transnationale ».
Ces sujets incluent les stéréotypes dans la perception de l’Afrique et des cultures africaines, les réalités postcoloniales et leurs dynamiques de pouvoir et les hiérarchies linguistiques, intellectuelles et épistémiques.
« Kontempo » est vu actuellement comme un nouveau code et une réinterprétation du terme « art contemporain » à Kinshasa.