Éducation nationale : la RDC va se doter d’une Stratégie nationale d’alimentation scolaire d’ici fin février

Trois jours après l’incendie qui a ravagé l’extension du marché central de Kinshasa, situé au croisement des avenues Itaga et Kasavubu, le gouverneur de la ville de Kinshasa, Daniel Bumba, a rencontré ce mercredi les commerçants sinistrés.
L’incendie, survenu dans la nuit du dimanche 27 janvier, a réduit en cendres une partie de l’extension du marché central, également connu sous le nom de « Zando ».
Lors de la rencontre, les commerçants sinistrés ont exprimé leur désarroi et leur besoin urgent de retrouver un espace de travail.
Face à cette situation, le gouverneur Daniel Bumba a assuré les commerçants de son soutien et a annoncé plusieurs mesures pour les accompagner.
Cette mesure, bien qu’obligatoire, vise à sécuriser les activités commerciales et à prévenir les pertes financières en cas de futurs incidents.

Les présidents Félix-Antoine Tshisekedi et Evariste Ndayishimiye ont eu un échange de près de deux heures, dimanche 22 décembre dernier, à Bujumbura, au Burundi, sur des questions de coopération bilatérale et de sécurité.
Selon une dépêche de la Présidence congolaise parvenue à 7SUR7.CD, cette visite du chef de l’État congolais dans la capitale burundaise fait partie des efforts diplomatiques déployés par son administration pour promouvoir le développement et la stabilité dans la région des Grands Lacs.
Les deux présidents, souligne la même source, ont d’excellentes relations fraternelles et leurs pays sont liés par des liens historiques de coopération.
Le dernier tête-à-tête entre les deux dirigeants date du 5 septembre 2024, à Beijing, en marge du 9ᵉ forum sur la coopération Chine-Afrique (FOCAC2024).
Raphaël Kwazi

Kinshasa, 18 décembre 2024 (ACP).- L’apprentissage d’un métier et l’entrepreneuriat ont été recommandés mercredi à Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC), aux professionnelles des sexes pour leur l’autonomisation financière, dans un entretien avec la fondatrice de l’ONG « Ma voix ».
Il est vrai qu’actuellement au niveau international les rapports sont alarmants sur les travailleuses des sexes que nous appelons chez nous prostituées.
Elle a invité la population à respecter les droits des professionnelles de sexes et à les accompagner dans la lutte contre toutes formes de violences à leur égard.
« Quand il y a une certaine violence à l’égard d’une ou des travailleuses des sexes, on semble ne pas s’en faire, estimant que cette catégorie ne mérite pas une considération.
Or ce sont nos sœurs, bien que leur travail est peu recommandé, elles méritent le respect et la dignité », a-t-elle appelé.