RDC – Atrocités dans l’Est : Les USA envisagent des sanctions contre des responsables rwandais

Dans une note diplomatique partagée par Reuters, ce vendredi 7 février 2025, Washington envisage de sanctionner des responsables rwandais comme congolais, instigateurs des atrocités dans la partie Est de la RDC.
Ce, à l’approche du sommet conjoint de la Communauté de Développement de l’Afrique Australe (SADC) et de la Communauté de l’Afrique de l’Est (EAC) qui s’ouvre ce vendredi pour s’achever samedi 8 février, à Dar es Salaam, en Tanzanie, consacré à la résolution pacifique du conflit dans l’est de la République démocratique du Congo.
À en croire une dépêche de la Présidence kényane parvenue à 7SUR7.CD lundi dernier, le président congolais Félix Tshisekedi et son homologue rwandais Paul Kagame avaient confirmé leur participation à ces pourparlers qui seront précédés d’une réunion ministérielle bien avant la tenue de la réunion des chefs d’État samedi.

Sud-Kivu : “La cité d’Ihusi n’est pas sous occupation du M23 et aucun centimètre de la RDC ne sera laissé au profit de l’armée rwandaise” (Mise au point des FARDC)

Le chef-lieu du territoire de Kalehe, dans le Sud-Kivu, est toujours sous contrôle du gouvernement congolais, contrairement aux folles rumeurs colportées dans les médias sur sa chute aux mains du M23.
“Les FARDC sont prêtes et continuent à assurer la sécurité de toute la population ainsi que la défense de l’intégrité du territoire national.
Aucun centimètre de la RDC se sera laissé au profit de l’armée rwandaise et ses supplétifs du M23”, rassurent-elles.
Les chefs d’État sous-régionaux tableront essentiellement sur la question sécuritaire dans le Nord-Kivu et Sud-Kivu.
Selon la présidence congolaise, Félix Tshisekedi devrait exiger le retrait des troupes rwandaises du sol congolais et le décret d’un cessez-le-feu strict entre belligérants.

Guerre d’agression : le Conseil des droits de l’homme de l’ONU diligente une enquête sur les exactions commises dans l’Est de la RDC

Le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a adopté une résolution proposée et défendue par la RDC ce vendredi 07 février 2025, sur la guerre d’agression et les exactions commises par le Rwanda et le M23 en République démocratique du Congo.
Ce texte de résolution adoptée ce jour exige le retrait du M23 et condamne le soutien de l’armée rwandaise.
Selon le gouvernement congolais, la communauté internationale, par cette résolution, envoie un message fort contre l’impunité et pour la justice.
Ce sont des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité.
Cette résolution, présentée par la RDC et adoptée sans vote, constitue une première depuis la résurgence de la crise dans sa partie Est en 2022.

Le plus grand site d’information en république démocratique du congo

« En effet, l’initiative des évêques vise manifestement le retour au schéma de la Saint sylvestre c’est-à-dire l’institutionnalisation du dialogue au détriment des institutions établies par la constitution.
En outre, Maître Magloire Kasongo s’interroge sur le sens à donner à la démocratie si l’existence de l’opposition politique est perçue comme une crise politique ou de cohésion nationale.
Pour le secrétaire général de l’AVC, la participation au dialogue de chaque camp doit se rapporter à l’objet de la crise à la base du problème.
« Il doit être établi le lien entre le crise sécuritaire à l’Est et l’opposition politique.
Ces deux églises ont, par la suite, dépêché une délégation chez Martin Fayulu, un des opposants au régime Tshisekedi.

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« En effet, l’initiative des évêques vise manifestement le retour au schéma de la Saint sylvestre c’est-à-dire l’institutionnalisation du dialogue au détriment des institutions établies par la constitution.
En outre, Maître Magloire Kasongo s’interroge sur le sens à donner à la démocratie si l’existence de l’opposition politique est perçue comme une crise politique ou de cohésion nationale.
Pour le secrétaire général de l’AVC, la participation au dialogue de chaque camp doit se rapporter à l’objet de la crise à la base du problème.
« Il doit être établi le lien entre le crise sécuritaire à l’Est et l’opposition politique.
Ces deux églises ont, par la suite, dépêché une délégation chez Martin Fayulu, un des opposants au régime Tshisekedi.

Violents combats à la frontière libano-syrienne entre des troupes syriennes et des clans chiites libanais

2025-02-072025-02-072025-02-072025-02-07Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/03-09/violents_combats_a_la_frontiere_libano_syrienne_entre_des_troupes_syriennes_et_des_clans_chiites_libanais.jpgAu Liban, au moins sept personnes ont été blessées dans des combats entre les nouvelles forces armées syriennes et des clans chiites libanais à la frontière libano-syrienne.
Les affrontements aux armes lourdes et légères ont éclaté ce jeudi 6 février et se sont poursuivis toute la journée de vendredi.
Après de violents combats, les forces syriennes ont pris le contrôle d’une localité et ont encerclé un autre village.
Devant la gravité de la situation, les clans chiites ont lancé un appel à la mobilisation dans cette région où le sentiment d’appartenance clanique et tribale reste profondément ancré.
Les clans ont exhorté le gouvernement à intervenir auprès du président syrien de la transition Ahmed al-Charaa afin de « protéger la souveraineté du Liban ».

Guinée-Bissau: le président Embalo veut rester au pouvoir jusqu’à l’investiture de son successeur

2025-02-072025-02-072025-02-072025-02-07Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/03-09/guinee_bissau_le_president_embalo_veut_rester_au_pouvoir_jusqu_a_l_investiture_de_son_successeur.jpgEn Guinée-Bissau, le président Umaro Sissoco Embalo dit vouloir rester au pouvoir jusqu’à l’entrée en fonction de son successeur.
La Cour suprême du pays a fixé la fin officielle de son mandat au 4 septembre, mais la date est contestée par l’opposition qui estime que la présidence Embalo doit s’achever fin février.
Débats animésUmaro Sissoco Embalo compte donc rester au pouvoir au-delà du 4 septembre, la fin de son mandat telle que fixée par la Cour suprême.
L’affaire est loin de faire consensus, car la constitution de Guinée Bissau est claire et stipule bien que le président est élu pour un mandat de 5 ans.
Pour l’heure, l’opposition continue de réclamer le départ du chef de l’État au 27 février prochain et la mise en place d’un président par Interim.

Trois humanitaires congolais de l’ONG Entraide Protestante Suisse tués dans le Nord-Kivu

2025-02-072025-02-072025-02-072025-02-07Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/03-09/trois_humanitaires_congolais_de_l_ong_entraide_protestante_suisse.jpgTrois humanitaires congolais de l’Entraide Protestante Suisse (EPER) ont été tués mercredi 5 février lors d’une mission dans le Nord-Kivu, dans le territoire de Rutshuru.
L’EPER a fermement condamné cet acte, le qualifiant de grave violation du droit international humanitaire et a suspendu ses activités dans le Nord-Kivu jusqu’à nouvel ordre.
L’attaque s’est produite mercredi à Kabirangiriro, une localité située entre les agglomérations de Kikuku et Ihula, dans le territoire de Rutshuru.
La réponse des humanitaires est depuis des mois rendue encore plus difficile par les menaces que les humanitaires eux-mêmes risquent de subir.
Les menaces sur les humanitaires, c’est une remise en cause de la possibilité pour les humanitaires eux-mêmes d’assister les personnes dans le besoin.

Ligue 1: pour l’Ivoirien Sinaly Diomandé, «la CAN est un objectif précieux»

Depuis que je suis professionnel, je n’avais jamais eu l’occasion de marquer ce genre de buts.
Parce que quand vous ne jouez pas, que vous n’êtes pas heureux, la décision a du sens.
Sans trop remuer le couteau dans la plaie, ne pas faire la CAN à la maison, est-ce votre plus grande déception ?
Je me dis que si je n’y étais pas cette fois-là, pourquoi pas à la prochaine.
C’est pour cela que je me donne tous les moyens pour participer à la prochaine, l’un de mes objectifs les plus précieux.

RD Congo – Rwanda : quelles sont les raisons du blocage diplomatique ?

Sur le terrain, les rebelles du M23 et les forces rwandaises, parvenues à entrer dimanche dans la ville de Goma, en contrôlent désormais les principaux points stratégiques.
Pour le pouvoir rwandais, son implication militaire dans l’est de la République démocratique du Congo est une question de “sécurité nationale”.
De son côté, Kinshasa reproche au Rwanda d’utiliser les FDLR comme prétexte pour maintenir ses troupes dans l’est de la République démocratique du Congo.
Sur le continent africain, le soutien diplomatique pour la République démocratique du Congo est pour le moins timide.
Pour Bob Kabamba, politologue expert de la République démocratique du Congo, cette frilosité s’explique par la position influente du Rwanda sur le continent mais également des divergences stratégiques entre la République démocratique du Congo et les puissances régionales.

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