Sommet conjoint SADC-EAC: Amnesty International plaide pour un leadership régional afin de prévenir de nouvelles atrocités et amener les responsables présumés à répondre de leurs actes
Comme cette crise sécuritaire marquée par l’agression rwandaise via la rébellion du M23 ne cesse de susciter des réactions internationales et régionales, Amnesty International évoque la nécessité d’un leadership régional pour prévenir de nouvelles atrocités et amener les responsables présumés à répondre de leurs actes.
« Ce sommet spécial sur la situation très grave en République démocratique du Congo n’a que trop tardé.
Les conséquences catastrophiques sur les droits humains du conflit armé dans le pays n’ont que trop duré.
Laisser passer cette occasion ne fera qu’encourager les responsables et renforcer la probabilité de voir de telles atrocités se reproduire », a interpellé Amnesty International.
Le processus de Luanda et celui de Nairobi devraient être au centre des discussions pour tenter d’amorcer une désescalade durable.