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Agression rwandaise en RDC : furieuse après le meeting de Nangaa à Goma, la communauté congolaise de Belgique redescend dans la rue le 15 février prochain !
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Agression rwandaise en RDC : furieuse après le meeting de Nangaa à Goma, la communauté congolaise de Belgique redescend dans la rue le 15 février prochain !
Appel d’offres suivant Marché de service pour la formation des organisations paysannes Hévéa et les organisations d’Assise communautaires sur la culture organisationnelle dans les territoires de Lodja, Lomela et Kolé
Agression rwandaise en RDC : furieuse après le meeting de Nangaa à Goma, la communauté congolaise de Belgique redescend dans la rue le 15 février prochain !
2025-02-072025-02-072025-02-072025-02-07Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/03-09/carnage_a_goma_soldats_rwandais_07_fevr_2025.pnghttps://www.theguardian.com/global-development/2025/feb/07/democratic-republic-congo-drc-paul-kagame-m23-rebels-goma-rwanda-troops-dying-denials « The Guardian » publie ce vendredi 7 février 2025 un dossier remarquablement fouillé, faisant état du dénombrement de plus de 1.000 corps de soldats rwandais tués sur le sol congolais et plus précisément lors des combats à Goma.
Ces corps sont enterrés soit secrètement dans des fausses communes sur place à Goma et ses environs, soit au cimetière militaire de Kanombe à Kigali ou encore dans des tombent de fortune au Rwanda.
Ces nombreux corps sont la preuve supplémentaire d’une implication massive et directe – jusqu’à 10.000 selon des sources locales à Goma – des forces spéciales rwandaises dans les combats.
Des preuves qui gênent le pouvoir rwandais à l’approche de l’important sommet régional de ce samedi à Dar es Salaam et face à l’opinion intérieure au Rwanda.
Les cercueils ne sont pas ouvertes selon les coutumes rwandaises, mais la plus part sont soit vides soit chargés de corps trop amochés après avoir été gravement touchés lors des combats.
2025-02-072025-02-072025-02-072025-02-07Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/13-19/saclouivuiton.pngLa maison de mode Louis Vuitton a une fois de plus bousculé les codes du luxe lors de la Fashion Week de Paris avec une pièce aussi audacieuse qu’inattendue : un sac en forme de homard.
Fabriqué en cuir Vachetta, un matériau emblématique de la maison, le sac reprend le motif monogramme de Louis Vuitton tout en adoptant une silhouette inédite.
Leur influence commune sur la culture streetwear transparaît dans cette collection, où le sac homard n’est qu’un exemple parmi d’autres d’un luxe réinventé, mêlant humour et références pop.
Dès son apparition sur les podiums, le sac homard est devenu un véritable phénomène.
Sur les réseaux sociaux, les avis se multiplient, entre fascination et scepticisme.
Pour mieux comprendre l’ampleur des enjeux, le Desk Femme d’Actualité.cd s’est entretenu avec Ursule Mbelu, spécialiste en gynécologie et en santé publique.
Le traumatisme physique est intense et peut entraîner des cicatrices qui affecteront la fonction génitale et la sexualité tout au long de la vie.
De plus, la stigmatisation et les tabous autour de ce sujet compliquent les discussions et la prise en charge.
Il faut expliquer les dangers physiques et psychologiques de cette pratique, et surtout, sensibiliser aux droits fondamentaux des filles et des femmes.
Votre corps et votre santé sont précieux, et il existe des solutions pour traiter les complications de la MGF.
Quatre personnes ont été tuées ce vendredi 7 février dans le village Ngangi 3 (groupement Munigi), dans le territoire de Nyiragongo.
Ce vendredi, dans son intervention à la 37e conseil extraordinaire des droits de l’homme consacrée à la situation en RDC, la cheffe de la Monusco, Bintou Keita a déploré la montée de la criminalité à Goma et ses environs après la sortie en masse des détenus de la prison de Munzenze lors de l’offensive du M23 sur Goma.
« La criminalité et la montée de la justice populaire sont plus qu’alarmantes, avec la prolifération d’armes abandonnées par les soldats et l’errance de plus de 4,000 prisonniers évadés de la prison centrale de Goma le 27 janvier », a déclaré Bintou Keita.
D’autres sources indépendantes rapportent que dans la nuit de jeudi à vendredi, au moins cinq autres personnes présumées voleurs ont été tuées par arme à feu dans la ville de Goma et le territoire de Nyiragongo portant à neuf présumés voleurs tuées dans diverses circonstances en 48 heures.
Josué Mutanava, à Goma
À Goma, dans la province du Nord-Kivu, les installations du Fonds de promotion de l’industrie (FPI) ont été saccagées par les rebelles du M23/RDF, soutenus par l’armée rwandaise.
En plus de ces vols, deux véhicules de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) auraient également été pris par les assaillants.
La situation à Goma demeure préoccupante, avec des violences qui mettent en danger les populations et les infrastructures publiques.
Condamnant fermement ces actes, la CENI appelle les autorités nationales et la communauté internationale à réagir et exige la libération immédiate de ses agents détenus.
Alors que des organisations des Nations Unies en arrivent à plus de 2 000 morts dans les affrontements entre les rebelles du M23 et les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ayant conduit à la chute de la ville de Goma entre le 26 et le 30 janvier dernier.
Ce vendredi, la représentante spéciale du secrétaire générale de l’ONU en RDC, Bintou Keita, a qualifié cette action de « grave atteinte au droit à l’information ».
C’était au cours de la 37e session extraordinaire du Conseil des droits de l’homme à Genève consacrée à la crise dans l’est congolais.
« De plus, la désinformation et la mésinformation sont omniprésentes et posent de sérieux risques », a-t-elle souligné justifiant l’appel à la levée de cette restriction par les autorités.
Mais les autorités ont également restreint l’accès à la plateforme Play Store où il est désormais difficile de télécharger VPN.
En début de semaine, le Vice-premier ministre de l’intérieur, Jacquemain Shabani a promis que tout allait revenir à la normale.
Il s’agit notamment de la création d’une commission internationale d’enquête chargée d’établir la vérité sur les auteurs des crimes commis dans le pays.
“Face à cette situation, la République Démocratique du Congo appelle à la mise en place d’une Commission internationale d’enquête pour examiner les violations des droits de l’homme commises dans notre pays”, a plaidé la RDC, par le biais du ministre de la Communication Patrick Muyaya.
Avant de renchérir sur les objectifs de la dite instance.
Ce sommet est attendu comme un moment clé dans la gestion de cette crise qui oppose la RDC et le Rwanda sur la présence de l’armée rwandaise et du M23 sur le territoire congolais.
(Re) Lire : Altercation verbale entre la RDC et le Rwanda au Conseil des droits de l’homme de l’ONU à GenèveConseil des droits de l’homme de l’ONU: la RDC dévoile ses cinq “grands” engagementsPrisca Lokale