Justice : un officier militaire condamné à 20 ans de prison pour meurtre

Dans son communiqué de presse publié jeudi 2 janvier 2025, elle se réjouit de la commutation de la peine de mort en peines alternatives.
La CNDH estime que cette décision du chef de l’État, qui répond à l’une de ses exhortations, marque une avancée significative dans la protection des droits de l’homme et du droit à la vie, garantis par la Constitution de 2006.
« Elle salue cette avancée significative dans la protection des droits de l’homme en République Démocratique du Congo (RDC) et particulièrement du droit à la vie consacré dans la Constitution congolaise en ses articles 16 et 61.
Par ailleurs, cette institution d’appui à la démocratie salue ce geste d’humanisme, de pardon et de justice, qui contribue à la promotion du droit à la paix.
Elle réduit de cinq ans la peine restant à exécuter pour toute personne condamnée à une peine de servitude pénale ou de travaux forcés égale ou supérieure à cinq ans par une décision judiciaire devenue irrévocable à la même date.

Dans son discours, le Président Félix Tshisekedi a salué le travail abbatu par les inspecteurs généraux des finances dans la lutte contre la corruption et détournement des deniers publics.
Félix Tshisekedi les a invité à ne pas baisser les bras et redoubler les efforts pour promouvoir la probité morale dans l’administration.
C’est pourquoi, devant vous tous, je réitère mon appel : poursuivez, redoublez d’efforts et d’abnegations dans vos missions, ne baissez jamais la garde.
Profitant de cette tribune, le Chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi a une nouvelle fois sensibilisé contre la corruption et détournement.
“La corruption n’est pas une simple entorse administrative, elle n’est pas un détail dans la gestion du bien public.

Le programme appuyé par la FEC vise à préserver la stabilité macroéconomique, améliorer le climat des affaires, renforcer la gouvernance et la transparence, ainsi qu’à favoriser une croissance inclusive.
Selon lui, ces défis imposent un lourd fardeau à la RDC en termes de coûts humains et économiques.
Les autorités congolaises entendent poursuivre leurs efforts visant à accumuler davantage de réserves internationales, à renforcer le cadre de conduite de la politique monétaire et la stratégie d’intervention sur le marché de change afin d’améliorer la transmission de la politique monétaire et d’atténuer les pressions sur le marché de change.
Il sied de rappeler que l’objet de l’accord conclu entre la République démocratique du Congo et le Fonds monétaire international (FMI) porte sur le financement à hauteur de près de 3 milliards USD de deux programmes économiques pour renforcer la stabilité financière du pays.
Ces deux programmes ont pour objectif de renforcer la stabilité financière de la RDC pour accélérer les réformes essentielles en vue de garantir un avenir prospère et durable.