Demande de rupture des contrats entre le Rwanda et les clubs de foot européen : après la pression de la RDC, le Bayern Munich envoie deux émissaires à Kigali et s’attend à une meilleure résolution !

Au cours du conseil des ministres du vendredi 27 décembre dernier, le Vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires Coutumières a soumis le Plan d’urgence de gestion des crises et catastrophes pour les trois prochains mois, élaboré à la suite de l’instruction du Chef de l’État.
Ce plan identifie les zones ciblées et les besoins des 12 provinces prioritaires et définit les actions urgentes par axe en rapport avec la coordination, la prévention et la préparation, la réponse humanitaire ainsi que le relèvement et la résilience.
Il est assorti d’un budget global de mise en œuvre dont les fonds sont répartis par axe.
Le ministre de l’Intérieur a été complété par la ministre des Affaires Sociales, Actions Humanitaires et Solidarité Nationale qui est revenue sur les mécanismes de suivi et évaluation adaptés.
Après débats et délibérations, le Conseil a adopté ce dossier moyennant amendements.

À Kananga, chef-lieu de la province du Kasaï Central, où il séjourne depuis ce mardi 24 décembre 2024, Félix Tshisekedi est revenu sur la question relative à la révision ou au changement de la Constitution.
“L’affaire relative à la Constitution vous concerne en tant que peuple congolais, en tant que souverain primaire.
Il n’y a personne qui viendra nous interdire parce que c’est grâce à vous que nous sommes là où nous sommes.
Félix Tshisekedi a rassuré quant à la mise en place d’une commission multidisciplinaire censée réfléchir sur l’avenir de la Constitution.
Le débat autour de la révision ou du changement de la Constitution continue de diviser la classe sociopolitique congolaise.

Le tribunal de grande instance de Lubumbashi a condamné, ce lundi 3 février, huit personne à la peine de mort pour leur implication dans l’assassinat du journaliste Patrick Adonis Numbi.
Le verdict a été rendu à la suite d’une procédure en flagrance.
Dans la même affaire, trois femmes poursuivies pour avoir caché les malfaiteurs ont été condamnées à deux ans de prison ferme.
Patrick Adonis Numbi, un journaliste basé à Lubumbashi, avait été retrouvé mort le 7 janvier dernier aux environs de 23 heures, près de l’arrêt Kabolela, dans le quartier Gécamines à Lubumbashi.
Ce meurtre avait suscité une vive émotion dans la ville et au sein de la communauté journalistique.