Day: February 5, 2025

Il était question dans cette démarche de rencontrer les acteurs clés du microcosme politique du pays.
Après leur échange avec Martin Fayulu, la délégation conjointe Cenco-ECC dit être sortie avec un coconsensus clair afin de construire la cohésion nationale.
Nous avons mis en exergue nos valeurs Ubuntu pour qu’afin cette crise qui a longtemps durée prenne fin.
Nous parlons d’une crise qui a duré plus de trente ans et qui a fait 10 millions de morts, et qui, fragilise le pays et nous humilie aux yeux du monde”, a déclaré Éric Nsenga.
Et d’ajouter “la consultation est une approche qui nous prépare au Pacte social mais le Pacte en soi n’est pas encore conçu.

Il était question dans cette démarche de rencontrer les acteurs clés du microcosme politique du pays.
Après leur échange avec Martin Fayulu, la délégation conjointe Cenco-ECC dit être sortie avec un coconsensus clair afin de construire la cohésion nationale.
Nous avons mis en exergue nos valeurs Ubuntu pour qu’afin cette crise qui a longtemps durée prenne fin.
Nous parlons d’une crise qui a duré plus de trente ans et qui a fait 10 millions de morts, et qui, fragilise le pays et nous humilie aux yeux du monde”, a déclaré Éric Nsenga.
Et d’ajouter “la consultation est une approche qui nous prépare au Pacte social mais le Pacte en soi n’est pas encore conçu.

Existe-t-il une traçabilité concrète de ce financement et peut-il être potentiellement détourné et utilisé pour soutenir le M23 ?
Est-ce que l’Union européenne contribue malgré elle au conflit ?
Et donc, ce sont des questions que la société civile se pose », explique Alina Garkova, directrice d’Eurac, au micro de Florence Morice.
« Le deuxième exemple a été la signature d’un protocole d’accord entre l’Union européenne et le Rwanda sur le commerce des minerais.
Le ministère français des Affaires étrangères a par exemple appelé les forces rwandaises à « quitter instamment » la RDC et le M23 à « se retirer immédiatement des territoires dont il a pris le contrôle ».

2025-02-052025-02-052025-02-052025-02-05Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/03-09/conseil_droits_de-l-homme_250.jpgLes Nations-Unies- établissent un bilan de plus de 3000 décès, à la suite du carnage perpétré dans la ville de Goma, au Nord-kivu, par l’Armée rwandaise, sous couvert de ses supplétifs du M23-AFC.
Face à l’urgence, le Conseil des droits de l’homme de l’ONU convoque, ce vendredi 07 février, une session spéciale à la demande de la RDCCe bilan présenté au Conseil des droits de l’homme de l’ONU est encore provisoire.
La demande congolaise pour la convocation de ladite séance a recueilli plus de seize signatures, soit un tiers des membres exigés.
Et aussi, vingt neuf sur quarante pays très favorables quant à la tenue de cette séance.
Au plan interne, les deux Chambres du Parlement ont entamé la session extraordinaire, à la demande du Président de la République Félix Tshisekedi.

2025-02-052025-02-052025-02-052025-02-05Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/03-09/cancer_lutte_rdc_25.jpgLe Gouvernement de la République démocratique du Congo a affirmé ce mardi 4 février 2025 son engagement à poursuivre sa contribution dans la lutte contre le cancer à travers son bras technique, à savoir le Centre national de lutte contre le cancer (CNLC).
Cette annonce a été faite lors de la journée mondiale de lutte contre le cancer, célébrée le 4 février de chaque année.
Au nom du ministre de tutelle, Sylvain Yuma a assuré l’engagement du Gouvernement de continuer à appuyer la lutte contre le cancer à travers son bras technique qui est le Centre national de lutte contre le cancer.
La cérémonie de célébration de la journée mondiale de lutte contre le cancer a été organisée par le Centre national de lutte contre le cancer (CNLC) à l’Institut national pilote d’enseignement des sciences de santé (INEPSS), à Kinshasa.
A l’initiative du ministère de la Santé publique, cette conférence-débat a été assurée par le Centre national de lutte contre le cancer (CNLC).

“Nécessairement, nous voulons la paix, nous voulons une solution alternative à la guerre, la guerre est menée par ceux qui ont pris les armes ça n’aurait pas de sens de les mettre à côté et d’espérer retrouver la paix sans eux”, a déclaré Monseigneur Donatien Nshole, Secrétaire Général de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO).
Le cas des acteurs sociopolitiques exilés sera également pris en compte pour un dialogue inclusif.
Félix Tshisekedi va-t-il abandonner ce projet qui divise la classe socio-politique congolaise?
La prise de la ville de Goma par les forces M23-AFC-RDF aggrave la crise sécuritaire, humanitaire et économique dans la région.
Les combats ont intensifié la détresse des populations locales, et Félix Tshisekedi a dans son dernier message à la nation annoncé une riposte militaire “vigoureuse” et ” coordonnée “pour récupérer les zones occupées par les rebelles du M23.

La voix de la colère et la raison d’un sourire, c’est en ces mots que se définit Jenny Paria, artiste slameur et rappeur congolais qui figure parmi les 10 finalistes de l’édition 2025 du Prix Découvertes RFI.
Le lauréat du Prix Découvertes RFI 2025 sera proclamé le 18 février 2025 sur les antennes de RFI, après la délibération et le vote du jury.
“ Généralement quand on écoute ce que les artistes proposent actuellement, et ce qu’on vit, on a l’impression qu’il y a vraiment un écart.
Pour le finaliste du Prix Découvertes RFI 2025, la musique à texte exprimé dans le rap et le slam notamment est un style d’avenir.
Jenny travaille sur son studio dénommé “Studio Est”, ce que le Prix Découvertes RFI pourra booster si il le remporte.

L’hôpital CBCA Ndosho de Goma est submergé par l’afflux de blessés de guerre, victimes des récents combats entre les FARDC et les rebelles du M23.
« Au début nous avons reçu des blessés par des engins explosifs et par balle.
« Nous étions sur le point de quitter le camp pour nous réfugier ailleurs.
Le gouvernement a annoncé un bilan de plus de 2000 morts et 2800 personnes blessées lors des combats entre les FARDC et le M23 à Goma.
Les victimes sont des civils et des militaires.

Selon un rapport du Bureau de coordination des affaires humanitaires (OCHA), certains déplacés vivent désormais dans la ville de Goma, tandis que d’autres sont retournés dans leurs milieux d’origine.
« La quasi-totalité des sites de déplacés sur l’axe Kanyaruchinya ont été détruits et vidés de leurs occupants.
Les installations d’eau et les latrines, ainsi que les structures de santé ont été détruites.
« Les populations déplacées à Goma sont désormais confrontées à des conditions de vie désastreuses qui menacent leur santé, leur sécurité et leur bien-être ».
Lire: RDC: l’ONU appelle une nouvelle fois à rouvrir l’aéroport de Goma pour faciliter l’accès à l’aide humanitaire