“En une semaine d’intervention à l’hôpital de Kyeshero, nous avons admis plus de 400 blessés, dont 60 % sont des civils.
Parmi ces blessés, environ 10 à 15 % sont des enfants de moins de 15 ans, et 20 % des femmes”, raconte Joseph Sagara.
Ce sont des situations très complexes qui demandent des compétences spécialisées et une gestion rigoureuse”, poursuit-il.
“Nous avons d’abord réussi à nous procurer quelques médicaments pour répondre aux besoins urgents, mais malheureusement, notre stock principal a été pillé.
L’accès limité aux soins de santé, à l’éducation et à la sécurité rend leur situation encore plus désastreuse.”
Author(s): actualite.cd
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