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Sur la plateforme X, Fayulu a affirmé que la fin du régime de Bachar al-Assad devait servir de leçon à Tshisekedi, évoquant la colère populaire comme facteur déterminant dans le renversement des dictateurs.
Le leader de l’opposition congolaise a ainsi lancé un avertissement à Félix Tshisekedi, en soulignant que le temps était venu pour lui de quitter le pouvoir, après avoir occupé la présidence durant deux mandats controversés.
Un appel à la mobilisation populaireÀ travers cette comparaison avec la Syrie, Fayulu cherche à galvaniser l’opinion publique congolaise contre le régime de Tshisekedi.
Il met en exergue la question des droits de l’homme, en insistant sur le fait que la fin de Bachar al-Assad, marquée par la fuite et la désertion, doit servir de modèle à une situation qui pourrait survenir en RDC.
Il encourage les citoyens à se mobiliser, à revendiquer leur souveraineté, et à ne pas se laisser intimider par ce qu’il appelle une « dictature ».

2025-01-022025-01-022025-01-022025-01-02Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/01-05/zelensky_02_jan_2025.jpgDans son discours du Nouvel an, Volodymyr Zelensky a appelé à un double combat en 2025, militaire et diplomatique, pour une « paix juste »Volodymyr Zelensky appelle à un double combat en 2025, sur le champ de bataille et à la table des négociations, pour parvenir à une paix juste et durable.
Alors que la guerre en Ukraine approche de sa troisième année, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a évoqué, dans son discours de Nouvel An, un double combat à mener en 2025 : sur le champ de bataille et à la table des négociations.
Volodymyr Zelensky a exprimé son souhait d’aboutir à une « paix juste » en 2025, tout en reconnaissant que cela nécessitera des efforts considérables.
« Je veux que la paix soit enfin obtenue pour l’Ukraine, que les gens arrêtent de mourir », confie Kateryna Tchemeryz, enseignante.
En parallèle, les interrogations sur la pérennité du soutien occidental, notamment américain, amplifient les incertitudes pour Kiev.

Les prix des carburants à Mbuji-Mayi (Kasaï-Oriental) sont revus à la hausse depuis la semaine dernière, ont constaté dimanche 22 décembre les reporters de Radio Okapi.
Le litre d’essence coûte actuellement 5 000 francs congolais à la pompe, au lieu de 4.500 francs.
Explications de Judith Nkongolo :« Nous achetons à Moanda, à Kinshasa, à Dilolo ou à Lubumbashi.
Il y a hausse de prix à cause des routes.
Le ciment, les vivres frais et certains produits manufacturés ont aussi influencé le prix biens et services sur le marché.