CAN Maroc 2025 : « La RDC n’aura pas beaucoup de difficultés, c’est un groupe clément » (Fanfan T. Bitangilay)

Vingt-trois soldats des FARDC comparaissent depuis ce lundi 30 décembre devant le tribunal militaire de garnison de Butembo, siégeant en audience foraine à Lubero-Centre, à au moins 50 kilomètres des lignes de front.
Selon le porte-parole des opérations Sokola 1 grand Nord, ces soldats qui combattent les rebelles du M23 dans le territoire de Lubero, sont poursuivis notamment pour violation de consignes, désertion, fuite devant l’ennemi, vol et tentative de viol.
Le procès va durer deux jours.

2025-01-242025-01-242025-01-242025-01-24Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/20-26/Antonio_Guterres_250.jpgAntonio Guterres, Secrétaire général des Nations-Unies, a condamné ce vendredi 24 janvier 2025, la prise de la cité de Saké par les rebelles du M23 soutenus par l’armée rwandaise.
Il a notamment dénoncé avec fermeté des nouvelles offensives lancées par les rebelles du M23 dans les provinces du Nord-Kivu et Sud-Kivu.
Par ailleurs, le secrétaire général de l’ONU demande à l’armée rwandaise de se retirer librement de toutes les localités occupées.
“Le secrétaire général appelle le M23 à cesser immédiatement son offensive, à se retirer de toutes les zones occupées et à respecter le cessez-le-feu du 31 juillet 2024”, conclut-il.
Des combats continuent à faire rage dans cette partie du pays, suite aux affrontements entre Fardc-M23, des civils se sont déplacés dans la ville de Goma, pour éviter de tomber dans les bombes des rebelles.

La Confédération démocratique du travail (CDT) a récusé, ce samedi 18 janvier, la démarche de la Première ministre ayant instruit son ministre du Travail de rapporter son arrêté, portant réajustement du Salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG).
Le secrétaire confédéral en charge des questions administratives de cette organisation syndicale, Willy Mutiya, a livré cette information dans un entretien accordé à Radio Okapi.
Pour lui, cette attitude dénote le manque de cohérence au sein du Gouvernement Suminwa.
Il redoute par ailleurs que cette décision soit au centre de divergence entre employeurs et travailleurs à travers le pays.