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Kinshasa, 12 janvier 2025 (ACP).- La création des centres commerciaux modernes en République démocratique du Congo, a été évoquée vendredi par le ministre de l’Industrie lors de la visite de projets réalisés par les Chinois à Luanda, en l’Angola, selon un communiqué parvenu samedi à l’ACP.
«J’ai effectué cette visite à Luanda, afin d’avoir un aperçu sur ces grands projets qui seront bientôt réalisés en RDC par les investisseurs chinois, avec la création des centres commerciaux modernes visant à offrir à la population des produits de qualité à des prix abordables.
Des parcs industriels pour stimuler la production industrielle locale dans le but d’améliorer le climat des affaires ainsi que les infrastructures et le développement de l’économie nationale», a-t-on lu.
Il a, à cet effet, visité les projets réalisés par les investisseurs chinois, notamment le groupe African sunrise investment, qui a fait preuve de grands investissements en Angola et dans d’autres pays d’Afrique.
Le ministre de l’Industrie a arraché le contrat de construction des centres commerciaux modernes, sous la direction de la Première ministre Judith Suminwa et ce, grâce à la diplomatie active du président de la République, Félix Antoine Tshisekedi.

À la suite d’une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux concernant la renégociation de la Convention de collaboration entre l’État congolais et le Groupement d’entreprises chinoises(GEC) généralement connue sous la dénomination de contrat chinois, l’Inspection Générale des Finances (IGF) a tenu à apporter quelques précisions.
Selon ce document dont une copie est parvenue à la rédaction de ACTUALITE.CD, tous les arguments développés dans cette vidéo se sont avérés faux.
Ci-dessous l’intégralité de la mise au point de l’IGFLa Direction de l’Inspection Générale des Finances a suivi avec stupéfaction une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux sur l’avenant à la Convention SICOMINES .
Tous les arguments développés dans cette vidéo ont été démontés devant le Chef de l’Etat et se sont avérés faux .
C’est, d’ailleurs, à l’issue de cette réunion que la décision finale de la signature de l’avenant n*5 à la Convention SICOMINES avait été prise.

Parmi eux, de nombreuses femmes et enfants se trouvent dans des conditions de vie précaires, exposés à des risques de santé accrus.
»Les maladies infectieuses telles que le paludisme, les infections respiratoires et les maladies diarrhéiques représentent des menaces majeures pour les déplacés, en particulier les femmes enceintes et les enfants.
« Nous avons installé des dispositifs de lavage des mains et des poubelles pour les déchets ménagers dans les bases des déplacés et dans les couloirs de l’hôpital.
Une campagne de sensibilisation sur l’hygiène alimentaire et le lavage des mains est menée en collaboration avec le CICR à l’hôpital et dans les zones de refuge ».
»Pour les mois à venir, le coordinateur évoque les perspectives de la situation : « Les personnes pourraient se sentir suffisamment en sécurité pour retourner chez elles.