Carnage et pillage à Goma: des preuves s’accumulent contre le Rwanda

Les Corbeaux du TP Mazembe ont décollé de Kinshasa à 5h15 ce samedi matin, en direction de Casablanca, après deux nuits éprouvantes à l’aéroport international de N’djili.
Cependant, après trois heures d’attente à bord de l’appareil, ils ont été débarqués en raison d’un problème technique.
À 3h00 du matin vendredi, les passagers sont encore une fois débarqués, et la correspondance pour Nouakchott manquée, expliquent les sources du club.
Les joueurs et le staff ont dû passer deux nuits inconfortables dans l’aéroport de Kinshasa.
Un nouveau départ pour Casablanca a finalement été annoncé pour samedi à 4h00 du matin, sans garantie d’une correspondance pour la Mauritanie.

Un nouveau round de négociations entre le président congolais Félix Tshisekedi et son homologue rwandais Paul Kagame est prévu ce dimanche 15 novembre à Luanda, en Angola.
Ces discussions se dérouleront sous la médiation du président angolais João Lourenço.
La République démocratique du Congo (RDC) espère que les engagements qui seront pris lors de cette rencontre seront respectés.
Cette rencontre à Luanda s’inscrit dans une série d’efforts diplomatiques pour apaiser les tensions entre la RDC et le Rwanda, accusé de soutenir les rebelles du M23.
Le M23 réclame des négociations directes avec le gouvernement congolais, une demande que Kinshasa a systématiquement rejetée.

Après les visites de plusieurs délégations arabes, Ahmad al-Chareh, le nouveau dirigeant syrien qui a évincé Bachar al-Assad, a reçu, lundi 30 décembre, des officiels ukrainiens.
La chute d’Assad le 8 décembre a constitué un sérieux revers pour la Russie, en guerre contre l’Ukraine depuis 2022 et qui maintient des bases militaires en Syrie.
Dimanche, Ahmad al-Chareh a salué les “intérêts stratégiques profonds” entre la Syrie et la Russie, lors d’une interview avec la chaîne Al-Arabiya durant laquelle il a souligné son souhait de préserver cette relation.
“La Russie est un pays important (…) Il existe des intérêts stratégiques profonds entre la Russie et la Syrie”, a-t-il affirmé, précisant que “tout l’armement syrien est d’origine russe et de nombreuses centrales électriques sont gérées par des experts russes”.
“Nous ne voulons pas que la Russie quitte la Syrie de la manière dont certains le souhaiteraient”, a-t-il ajouté.