Month: January 2025

Cette visite consiste à réconforter le contingent de la South African National Defence Force (SANDF) qui fait partie de la Mission de la SADC en RDC (SAMIDRC).
À en croire la ministre sud-africaine de la Défense, son pays est déterminé à ramener la paix en République démocratique du Congo.
L’engagement du ministre contribuera aux efforts en cours pour promouvoir la paix, la stabilité et la sécurité en RDC », lit-on dans le communiqué du ministère de la Défense de l’Afrique du Sud.
Cependant, dans la ville de Goma, la panique est totale suite aux détonations d’armes lourdes qui se font entendre dans les environs.
Les écoles ont décidé de renvoyer les élèves à la maison.

Kinshasa, 23 janvier 2025 (ACP).- Les grandes lignes de la proposition de loi sur les investissements stratégiques et conséquents aussi productifs, ont fait l’objet d’un entretien mardi à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, entre le ministre du Commerce extérieur et le député national Joseph Bangakya Angaze, a appris l’ACP de source parlementaire.
« Nous nous sommes entretenu avec le ministre sur les grandes lignes de la proposition de loi sur les investissements stratégiques et productifs.
C’est une proposition de loi qui est déjà à sa maturité.
Je pourrai la déposer au bureau de l’Assemblée Nationale en début février afin qu’elle soit transmise au Gouvernement pour recueillir son avis ».
Le député Bangakya a également salué la série des mesures gouvernementales interdisant l’importation temporaire de quelques produits visant à sauvegarder l’industrie locale congolaise et le lancement du régime commercial simplifié, (RECOS) entre la RDC et le Burundi.

Cette visite de Angie Motshekga rentre dans le cadre du renforcement des relations bilatérales, conformément à l’accord de Défense entre les deux pays, rapporte le communiqué du ministère sud-africain de la Défense.
« Au cours de cette visite, la ministre Motshekga vise à renforcer les relations bilatérales entre l’Afrique du Sud et la RDC, conformément au protocole d’accord sur la coopération en matière de défense, tout en évaluant les conditions opérationnelles et le bien-être du personnel de la South African National Defence Force (SANDF) déployé dans la région.
L’engagement du ministre contribuera aux efforts en cours pour promouvoir la paix, la stabilité et la sécurité en RDC », indique le même document.
La mission de Angie Motshekga qui devrait s’étendre jusqu’au 25 janvier prochain intervient au moment où des combats entre les terroristes du M23 et les Forces armées de la RDC s’intensifient dans l’Est de la RDC.
Des affrontements sont signalés aux environs de la cité de Sake située à quelque 27 kilomètres de la ville de Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu.

Une séance de travail a eu lieu le mardi 21 janvier 2025 entre le ministre de la Pêche et Élevage, Jean-Pierre Tshimanga Buana, et les dirigeants de l’Office national de la pêche et aquaculture (ONPA).
Ces malentendus ne concernaient pas le ministre de la Pêche, je dois le souligner, mais plutôt des divergences qui existaient entre nous au sein de l’équipe dirigeante de l’Office.
Cela a été rapidement dissipé et nous sommes passés à autre chose », a souligné Henriette Wamu Atamina, présidente du Conseil d’administration de l’ONPA.
Le directeur général Épicure Bohi Lokua a mis en exergue les actions menées par le ministre Tshimanga Buana pour l’opérationnalisation de l’ONPA.
« Le ministre Tshimanga Buana est notre ministre de tutelle, c’est lui qui nous donne la ligne de conduite à suivre pour que nous puissions bien accomplir notre mission.

Plus de 150 détenus de la prison centrale de Bunia (Ituri) ont été victimes l’année dernière d’escroquerie de la part d’un groupe de faux greffiers qui prétendaient leur faciliter les démarches pour leur liberté provisoire.
Le bureau provincial des inspecteurs des droits de l’homme de Bunia a dénoncé cette escroquerie, mercredi 22 janvier, à la police d’investigation criminelle, à l’issue d’une visite à la prison centrale.
« Quand nous dénonçons, nous rendons à nue tous ces abus et nous voulons qu’ils puissent cesser.
Les valeurs clés des droits de l’homme ce sont la prévention et la répression.
Nous voulons parler de la prévention, mais s’il n’y a pas la répression, nous effectuons un travail nul », fait-il remarquer.

Plusieurs études ont démontré que la plupart de cas des conflits parcellaires sont de nature familiale.
Ces conflits opposent souvent les héritiers sur le droit de succession.
Les membres des familles paternels et maternels se déchirent, les enfants de leurs côtes également se divisent sur la quote-part que chacun va recevoir.
La situation est plus compliquée concernant le droit de succession surtout dans des familles recomposées.
– Comment gérer les conflits de succession dans une famille recomposée ?

En période conflits armés, les violences, les déplacements forcés et les pertes de proches entraînent des traumatismes profonds.
Les personnes exposées à ces situations développent souvent des troubles de stress post-traumatique (TSPT), de l’anxiété et de la dépression selon les experts.
On remarque cependant que l’accès aux soins des personnes affectées par les conflits armés à l’est du pays depuis des décennies est très limités laissant des séquelles irréparables chez nombre de personnes.
– Quelles sont les conséquences des conflits armés sur la santé mentale ?
– Quels sont les mécanismes à mettre en place pour l’accompagnement de ces patients ?