FARDC : Jules Mwilanie, nouveau chef d’état-major général, a officiellement pris ses fonctions

Le chef d’état-major sortant a, dans son allocution, remercié le président de la République pour, entre autres, son élévation à la tête des FARDC et sa nouvelle nomination au poste de conseiller militaire du chef de l’État.
Le Président Félix Tshisekedi, qui a remis l’étendard au nouveau chef d’état-major général, l’a appelé au sens d’honneur, de discipline et de responsabilité.
Il incarne l’honneur, la discipline et la responsabilité qui accompagnent vos hautes fonctions.
Vous en serez le gardien vigilant et le défendrez, au besoin, jusqu’au sacrifice ultime, pour la patrie et pour l’honneur de notre armée », a déclaré le chef de l’État.
Notons que le chef d’état-major sortant, Christian Tshiwewe, a passé deux ans et deux mois à la tête des forces armées de la RDC avant d’être remplacé au terme d’une ordonnance lue dernièrement à la RTNC.

Beni : 5 civils tués par des ADF à Loselose, la psychose s’installe

Cinq (5) personnes ont été tuées par des rebelles d’Allied democratic forces (ADF) dans la nuit du dimanche à ce lundi 06 janvier 2025, au village Loselose, se trouvant dans le secteur de Ruwenzori en territoire de Beni (Nord-Kivu).
Consécutivement à cette tuerie, une psychose couplée au déplacement massif des habitants s’observe dans la contrée, ont rapporté certaines sources des habitants sur place à Loselose, qui ont été contactées par 7SUR7.CD.
“Certains habitants se déplacent suite à la peur après le drame vécu à Loselose.
Nos éléments se sont mobilisés et sont dans la profondeur pour rassurer la sécurité de la population”, a rapporté le colonel Omeonga Charles, administrateur du territoire de Beni.
Suite à cette tuerie, des activités ont tourné au ralenti dans l’agglomération qui venait de réaliser plusieurs mois d’accalmie imposée par les forces conjointes FARDC-UPDF.

Conflit foncier à Dungu : 3 morts et 10 blessés dans un accrochage entre deux ethnies à Sambia

Trois personnes ont été brulées vives et dix autres blessées à la suite d’un accrochage survenu, samedi 4 janvier, entre les ethnies Logo et Zande, au village Sambia, territoire de Dungu (Haut-Uélé).
Selon la société civile locale, des maisons ont été incendiées et environ 40 000 habitants de la localité de Sambia ont fui leurs villages, à la suite d’un conflit de limites territoriales opposant ces deux communautés.
Qu’ils (autorités Ndlr) viennent donner à la population la vraie limite qui remonte à l’époque coloniale.
Nous les appelons à venir mettre fin à cette histoire».
Mais la tension persiste entre les deux communautés, malgré les appels au calme des autorités provinciales et des élus locaux, indiquent des sources locales.

Beni : environ 5 personnes tuées dans une attaque des rebelles ADF à Loselose

Au moins cinq personnes ont trouvé la mort dont une femme et de nombreuses autres sont portées disparues dans une attaque des rebelles ADF, dans la nuit de dimanche 5 janvier, au village Loselose, territoire de Beni (Nord-Kivu).
La société civile locale renseigne que ce bilan est encore provisoire, car les fouilles se poursuivent toujours dans la région attaquée.
Les personnes tuées à l’arme blanche pour la plupart, avaient été auparavant prises en otage depuis le samedi dernier par ces rebelles des ADF qui se sont servis d’eux comme pisteurs.
Trois autres personnes, dont une fille ayant tenté de s’échapper des mains de leurs ravisseurs, ont été blessées également.
Juste ce lundi 6 janvier, un calme précaire règne dans cette partie du Nord-Kivu alors que l’armée n’a pas encore donné sa version des faits sur cette première attaque macabre des ADF de l’année 2025.

Christian Bosembe appelle aux discours conciliants via les médias

Le président du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC), Christian Bosembe, a appelé, lundi 6 janvier, les acteurs médiatiques et politiques à adopter des discours responsable et unificateur.
Au cours d’une interview à Radio Okapi, il a promis des sanctions sévères à l’encontre des réfractaires à ces mesures.
Il a indiqué que cet appel concerne tous les acteurs médiatiques et politiques quelles que soient leurs tendances, soulignant la nécessité d’un discours responsable pour préserver l’unité et la paix nationale.
Au nom du CSAC, institution d’appui à la démocratie, il a en outre appelé à la responsabilité des professionnels des médias.
Christian Bosembe a par ailleurs rappelé que le CSAC veut, à travers cette mesure, amener la RDC à préserver sa richesse tribale et ethnique, qui constitue, selon lui, le socle de son identité collective et le ciment de son unité.

Gérant(e) ou Directeur(trice) Général(e)

Représenter la société en tant que cadre supérieur auprès des tiers et partenaires.
Job DescriptionNous recherchons actuellement un (une) Gérant(e) motivé(e) et stratégique pour superviser nos activités dans le pays.
Dans ce rôle central, vous gérerez toutes les facettes des ventes des billets, en veillant au respect des normes de sécurité aérienne et en améliorant l’efficacité commerciale.
Votre rôle sera crucial pour maintenir notre réputation de fournisseur de solutions aérospatiales de premier choix et pour contribuer à notre image de marque.
Exigences :Au moins 10 ans d’expérience dans le domaine des ventes et de la commercialisation, dont au moins 7 ans dans des fonctions de gestion et de supervision.

Exécution de 102 Kulunas envoyés à Angenga : Constant Mutamba dément

2025-01-062025-01-062025-01-062025-01-06Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/06-12/constant_mutamba_a_kalemie_tanganyika_24.jpgLe ministre de la Justice, Constant Mutamba a démenti l’information relayée par l’agence Associated press (AP) selon laquelle les 102 kulunas envoyés à la prison de Angenga seraient exécutés conformément à la peine de mort dont ils ont été condamnés.
Dans sa réaction à cette information qu’il qualifie de fausse, Constant Mutamba explique que les lois congolaises prévoient la peine de mort et les mécanismes de son exécution.
De ce fait, les kulunas condamnés vont exécuter leurs peines conformément à la loi.
“Les bandits urbains kuluna jugés et condamnés à mort par nos tribunaux, ont été transférés dans des prisons de haute sécurité, loin de leur milieu d’arrestation, pour exécution de la peine conformément aux lois congolaises.
Nous allons afficher de la fermeté contre les kuluna qui seront arrêtés et mis à la disposition de la justice, car ils sèment morts et désolation dans la société”, a-t-il déclaré dans une publication faite sur son compte X.Dans la foulée, le ministre de la Justice invite l’AP à corriger cette information.

Le Lieutenant Général Jules Banza officiellement investi à la tête des FARDC

Vous le garderez et le défendrez jusqu’au sacrifice suprême”, a déclaré le chef de l’État.
Le chef d’état-major général sortant, le Général d’armées Christian Tshiwewe, a appelé, quant à lui dans son allocution, toutes les unités à accompagner le nouveau chef d’état-major général de l’armée.
Artilleur de formation et ancien officier du 13ème régiment blindé de la Garde républicaine (GR), le lieutenant Général Banza Mwilambwe Jules, a été nommé en décembre dernier chef d’État-major général des Forces armées de la République démocratique du Congo (Fardc).
Il succède au lieutenant-général Christian Tshiwewe Songesha, en poste depuis octobre 2022, qui devient conseiller à la présidence.
La nomination du général Banza est intervenue dans un contexte de crise sécuritaire persistante dans l’est du pays, marquée par des violences accrues.

RDC-M23: Kabila et Lubaya notent que les choix et décisions “hasardeux, les tâtonnements et les essai-erreurs” du régime sont à la base de l’impasse en privilégiant les forces étrangères au détriment

Les choix et décisions hasardeux, les tâtonnements et les essai-erreurs sont à la base de l’impasse actuelle.
Le pouvoir en place porte davantage son choix sur les forces étrangères, les milices et mercenaires au détriment de nos forces armées.
Pendant ce temps, les États-Unis et d’autres partenaires internationaux exhortent les parties à intensifier les efforts pour éviter une escalade et saisir l’opportunité de paix qui s’offre à la région.
Des rebelles du M23 soutenus par le Rwanda poursuivent avec la conquête des espaces dans la province du Nord-Kivu malgré la signature du cessez-le-feu signé en août de l’année dernière.
Les combats se poursuivent entre les rebelles du M23 et les FARDC dans le territoire de Masisi où les assaillants ont conquis ces derniers jours plusieurs localités dont Masisi-centre.

Nord-Kivu : La situation humanitaire se détériore après l’occupation de Masisi-Centre par le M23

Plusieurs localités dans le territoire de Masisi (Nord-Kivu) traversent une situation humanitaire alarmante depuis la résurgence des attaques des rebelles du Mouvement du 23 mars (M23), soutenus par le Rwanda.
Des témoignages recueillis par ACTUALITE.CD à Masisi révèlent que certains civils passent des nuits à la belle étoile fuyant les combats.
La plupart fuient vers la ville de Goma et le territoire de Walikale, d’autres traversent carrément vers la province voisine du Sud-Kivu.
Et d’ajouter :« Au gouvernement congolais et à la communauté internationale, c’est d’appeler à la responsabilité des uns et des autres, selon que les attributions qui leur sont dévolues.
Des rapports font état d’exactions et d’arrestations de jeunes dans la région suite à la prise de Masisi centre par les rebelles.

Accepter les Notifications pour ne pas rater les news de la RDC OK No