Le Ghana devient le cinquième pays d’Afrique à ne pas demander de visa aux citoyens du continent

2025-01-022025-01-022025-01-022025-01-02Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/01-05/Nana_Akufo_Addo_25.pngAu Ghana, depuis ce 1ᵉʳ janvier, plus aucun citoyen du continent africain n’a à présenter de visa à l’arrivée.
Le pays rejoint donc la liste des quatre autres États du continent à avoir adopté une politique similaire : le Rwanda, les Seychelles, la Gambie et le Bénin.
La décision a été prise par le président sortant Nana Akufo-Addo pour, notamment, « créer un marché unique homogène » en Afrique.
Au-delà des retombées économiques positives espérées, émanant d’une augmentation du tourisme et des investissements continentaux, l’exemption de visas n’est pas sans risque.
Pendant l’année de mise en place, le Ghana a notamment dû se pencher sur la question de la lutte contre les crimes transfrontaliers et celle du renforcement des capacités administratives de son système d’immigration afin de garantir le bon déroulé de cette politique sans visa.

Kasaï-Central : le gouverneur Kambulu sur un siège éjectable ?

2025-01-022025-01-022025-01-022025-01-02Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/01-05/Joseph_Moise_Kambulu_250.jpgTout indique que le gouverneur Joseph Moïse Kambulu est dans des sales draps, le moins que l’on puisse dire.
Et que, tous, nous sommes satisfaits en attendant de voir les autres travaux continuer sur le même élan comme on venait de le faire avec les résidences ».
Il y a aussi le Capitole, la Mairie et le Bâtiment administratif.
Mais nous demandons sincèrement, avec droiture, que l’entreprise Safrimex continue sur le même élan pour nous rendre les autres ouvrages dans les délais convenus ».
Que la même entreprise a installé une centrale d’enrobés, également capable de produire quatre types d’enrobés au même moment.

Qui est concerné par la grâce présidentielle ?

Dans la nuit du 31 décembre au 1ᵉʳ janvier, il a signé une ordonnance accordant une mesure collective de grâce.
Cette décision, qui accompagne les festivités du Nouvel An, prévoit des remises et réductions de peine pour certaines catégories de détenus.
La peine de mort pourra être commuée en servitude pénale à perpétuité, et les peines à perpétuité ramenées à vingt ans.
Ces mesures excluent les personnes condamnées pour des crimes graves comme les violences sexuelles, les détournements de fonds publics ou les atteintes à la sûreté de l’État.
Il s’agit d’éviter les abus du passé, comme les accusations de monnayage.

Le gouverneur du Kasaï-Central rappelé à Kinshasa

2025-01-022025-01-022025-01-022025-01-02Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/01-05/Joseph_Moise_Kambulu_25.pngLe vice-premier ministre chargé de l’Intérieur, Jacquemain Shabani a convoqué, de manière urgente, le gouverneur de la province du Kasaï-Central, Joseph Moïse Kambulu.
Un aveu qui avait contesté la thèse du porte-parole du gouvernement Patrick Muyaya qui voulait faire croire à la presse qu’il y aurait des projets déjà en exécution.
Cette déclaration de Moïse Kambulu a suscité un tollé au sein de la majorité au pouvoir dont certains sont allés même très loin en réclamant le départ du gouverneur de la tête de la province.
Ils considèrent ces propos d’opposants et dénigrants à l’égard du chef de l’État Félix Tshisekedi.
Cependant, cette déclaration a été saluée par l’opposition politique qui encourage la bravoure et le patriotisme du gouverneur en révélant l’inaction du gouvernement et l’injustice de Félix Tshisekedi à l’égard des autres provinces en dehors du Kasaï Central.

Deux chinois tués par un policier à Mwene-Ditu

Un policier a tiré à bout portant sur trois chinois de l’entreprise Crec 6, mercredi 1er janvier, à Mwene-Ditu, province de Lomami.
Selon l’auditeur militaire garnison de Mwene-Ditu, colonel Justin Bora Uzima, l’agent de police a tué sur le coup les deux expatriés, et a blessé grièvement un autre.
Mais des témoins parlent d’une dispute autour de la viande d’un bœuf tué à l’occasion des festivités de fin d’année.
Le présumé meurtrier est en fuite et les autorités locales redoutent l’impact de cet incident sur la poursuite des travaux de modernisation de 4 kilomètres de la route nationale 1.
Le maire Gérard Tshibanda Kabwe, a confirmé les faits ; promettant de s’exprimer prochainement.

Transports à Kinshasa : l’Assemblée provinciale dénonce le désordre dans la fixation des prix et appelle au respect des tarifs officiels

L’état du secteur des transports à Kinshasa a été vivement critiqué par le président de l’Assemblée provinciale de Kinshasa (APK), Lévi Mbuta, lors de la clôture de la session ordinaire de septembre.
Il a notamment insisté sur le respect de l’arrêté provincial fixant les tarifs des transports en commun, pris en mars 2023.
À Kinshasa, les transports en commun sont un défi quotidien pour des millions de résidents.
À cela s’ajoutent les embouteillages monstres et la hausse injustifiée des tarifs, qui pèsent lourdement sur les habitants.
À relire: Kinshasa : Les conducteurs de transports en commun sommés d’afficher les tarifs et itinéraires pour lutter contre les pratiques abusives comme “demi-terrain”, “abonnés” ou “solola bien”Clément MUAMBA

Les 10 faits marquants de l’économie en RDC en 2024

L’année 2024 a été riche en événements économiques majeurs en République Démocratique du Congo, marquant des avancées significatives, des défis persistants et des décisions stratégiques cruciales.
2.Tensions autour des ressources minièresLes incursions du groupe armé M23 dans des zones minières ont affecté la production et les exportations.
En avril 2024, le M23 a pris le contrôle de la zone minière de Rubaya, une région clé pour l’extraction du coltan.
Les investissements pour les infrastructures ont été portés à 7 milliards USD, avec 3 000 km de routes à réaliser dans les cinq prochaines années.
Cette sanction clôt l’enquête sur les activités de l’entreprise en République Démocratique du Congo (RDC), entre 2007 et 2017.

RDC : dans son message de fin d’année, Fayulu dénonce « le tribalisme primaire du régime » comme base de la division du pays

Comme dans les années antérieures, Martin Fayulu s’est adressé aux Congolais ce 30 décembre, dans un message où il a peint un tableau sombre de la gestion du pays dans divers secteurs.
Le leader de la coalition LAMUKA fustige le tribalisme primaire du régime, qu’il présente comme la base de la division de la nation.
« Nous observons un repli identitaire au sommet de l’État avec une opposition constante entre les frères dits « de sang » et les autres « compatriotes ».
Fayulu refuse, par ailleurs, toute instrumentalisation des Congolais pour des fins «machiavéliques et politiciennes».
Lire aussi : RDC : Fayulu appelle au “processus de Kinshasa” et dénonce un projet de révision constitutionnelleSamyr LUKOMBO

Sud-Ubangi : Le président de l’Assemblée provinciale visé par une pétition

Lors de la cérémonie de clôture de la session de septembre, présidée par le vice-président de l’organe délibérant en l’absence du président, actuellement en repos médical, ce dernier a confirmé la réception de la pétition.
“Après la présentation du rapport de la commission spéciale chargée de contrôler la gestion financière et la comptabilité du Bureau de l’Assemblée provinciale, le Bureau a reçu une lettre de pétition signée par 19 députés provinciaux demandant la déchéance de l’honorable président Ngandakwe Matingi Martinien de ses fonctions, conformément aux dispositions de l’article 19 du règlement intérieur de l’Assemblée provinciale du Sud-Ubangi, avec plusieurs griefs portés contre lui”, a déclaré le vice-président.
Dans l’attente de sa défense en procédure contradictoire lors de la session de mars 2025, il a été interdit à Martinien Ngandakwe de poser des actes au nom et pour le compte de l’Assemblée provinciale.
Pour certains observateurs, cette situation pourrait être perçue comme une recomposition en cours de cette chambre délibérante.
Le parti AREP, auquel appartient le président de l’Assemblée provinciale, a en effet perdu quatre de ses six sièges lors des dernières élections, fragilisant davantage sa position.

RDC : Onze ans après l’assassinat du colonel Mamadou Ndala, des zones d’ombre persistent

Figure emblématique des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), Ndala avait été élevé à titre posthume au grade de général.
Ce jour-là, Mamadou Ndala et ses hommes se rendaient à Eringeti dans le cadre de préparatifs pour des opérations contre les rebelles ougandais des ADF.
L’attaque avait causé la mort de trois personnes, dont deux gardes du colonel, et fait cinq blessés.
Il avait été condamné à mort et à payer une amende de près de trois millions de dollars en dommages et intérêts.
Onze ans plus tard, la mort du colonel Ndala reste un sujet de controverse et un rappel des défis persistants en matière de sécurité et de gouvernance militaire en RDC.

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