Peinture : débat artistique autour du tableau “Congo panorama” vendredi à Kinshasa

L’auto-prise en charge, ne jamais trahir le pays, le nationalisme et le patriotisme doivent incarner tout congolais.
Car, le vivre ensemble ne vient que par cela », a déclaré Isaac Ngoyi, consultant à la fondation M’zee Laurent Désiré Kabila.
Des congolais venus nombreux pour visiter le lieu« Nous tenons à rappeler au peuple congolais que ces journées du 16 et du 17 janvier ne doivent pas être oubliées.
Ce sont des journées où l’on doit se rendre dans des lieux commémoratifs : à l’échangeur de la commune de Limete, au mausolée dans la commune de Gombe et au Palais de Marbre dans la commune de Ngaliema.
Ce sont des lieux tellement importants que nous devons indiquer aux générations qui viennent pour qu’ils sachent que la RDC ne compte que deux (2) héros nationaux, car leur lutte doit être pérennisée par tous », a-t-il renchéri.

«L’objectif principal d’une session du comité consultatif permanent est pour que l’INPP puisse récolter les besoins de formation auprès des entreprises et savoir si les formations offertes sont en adéquation avec les besoins des entreprises.
A quoi bon d’organiser des formations si les entreprises ne sont pas satisfaites.
Selon lui, les entreprises habituées à ces échanges, sont de plus en plus satisfaites dans la mesure où l’INPP tient compte des observations et des recommandations formulées.
Qu’elles (les entreprises) fassent confiance à cet établissement public disposé à satisfaire les besoins en formation des entreprises pour le bénéfice de l’économie nationale».
Structure chargée de mener une interface entre l’INPP et les entreprises, le CCP œuvre pour une amélioration continue de la formation professionnelle en République démocratique du Congo.

La pratique du tatouage a gagné en popularité en RDC depuis plusieurs années, particulièrement auprès des adolescents et des jeunes adultes.
Les jeunes des grandes villes arborent d’ailleurs souvent pour des tatouage permanent, pourtant le tatouage demeure encore aujourd’hui pour certaines familles et communautés le signe d’une déviance chez les jeunes.
De plus, il semble encore associé à certains groupes de personnes, tels les malfaiteurs, prostituées, les prisonniers ou les utilisateurs de drogues.
Mais pourquoi les jeunes Congolais préfèrent se tatoués ?
et quel risque à le tatouage pour la santé ?