Guerre dans l’est de la RDC : “Le Rwanda a dilapidé $1 milliard d’aide mondiale en participant à l’invasion du Congo-Kinshasa” (Royaume-Uni)

Au stade des Martyrs de Kinshasa, l’association sportive Maniema Union, qui recevait l’AS FAR de Rabat (Maroc), a vu son avantage de la première mi-temps s’effacer en seconde période.
Moanda Exaucia avait ouvert la marque pour les Congolais à la 38e minute.
À Lubumbashi, le TP Mazembe, qui affrontait Young Africans, a également laissé filer une victoire qui semblait pourtant à sa portée.
Les Corbeaux ont ouvert le score avant la pause grâce à Cheick Fofana (44’), mais ont encaissé un but à la dernière seconde du match (90+5’).
En revanche, Maniema Union, malgré ses trois matchs nuls, se classe à la 2e place de son groupe, en attendant le résultat du match entre Mamelodi Sundowns et Raja Casablanca, prévu ce dimanche à 15h00.

L’instauration et l’expansion des zones économiques spéciales (ZES) représentent une opportunité pour transformer ce potentiel en moteur de développement urbain durable, en attirant des investissements et en générant des emplois.
Ces textes permettent à la RDC de structurer et de promouvoir les ZES comme des moteurs de développement économique et urbain.
Ces investissements peuvent également conduire à une modernisation des infrastructures, incluant des routes, des installations industrielles, et des services publics, comme stipulé dans le décret d’application.
Diversification économiqueEn encourageant des industries autres que l’extraction minière, les ZES réduisent la dépendance économique de Lubumbashi aux fluctuations des prix des matières premières.
Augmentation des recettes localesLes entreprises des ZES contribuent aux recettes fiscales locales, même avec des avantages fiscaux, permettant d’investir dans des projets urbains essentiels.

Kinshasa, 16 décembre 2024 (ACP).La poursuite de la vulgarisation du « Protocole de Maputo » à travers la République démocratique du Congo a été recommandée, vendredi, par les acteurs judiciaires à l’issue d’une table ronde organisée à Kinshasa par une association des femmes avocates, a-t-on appris de source judiciaire.
C’est seulement après qu’on va poursuivre la vulgarisation du Protocole de Maputo », a relevé Me Gisèle Kapinga, présidente de l’Afeac, relayant la recommandation formulée par un des participants.
Elle a précisé que son association, qui a organisé la table ronde avec les acteurs judiciaires, vulgarise le Protocole de Maputo auprès de ces acteurs judiciaires, notamment les juges, les magistrats et les avocats.
« C’est dans ce cadre que nous avons organisé ces assises, mais aussi pour discuter sur les recommandations à formuler pour l’harmonisation de notre Code pénal avec le Protocole de Maputo.
La table ronde de renforcement des capacités des acteurs judiciaires sur le Protocole de Maputo a été organisée par l’Afeac en partenariat avec l’IPas (qui est une organisation qui s’efforce de faire progresser la santé sexuelle et les droits génésiques des femmes).