RDC : comment prévenir le stress post-traumatique chez les acteurs humanitaires en période de crise ?

Selon le psychologue, le stress post-traumatique peut se manifester sous diverses formes chez les intervenants humanitaires, notamment l’épuisement émotionnel, l’anxiété, les troubles du sommeil et des symptômes de dissociation.
(ii) selon le psy, une supervision clinique régulière peut jouer un rôle clé dans la gestion du stress post-traumatique des travailleurs sociaux.
”Les formations dispensées à ces acteurs les aident à identifier les signes de stress chez eux-mêmes et leurs collègues, à éviter le burn-out et à maintenir une approche professionnelle face à la souffrance des autres.
Une fois formés à la gestion du stress, ils pourront mieux intervenir auprès des femmes et des enfants déplacés, en créant un environnement plus stable et sécurisé, tout en prenant soin d’eux-mêmes”.
La prévention du stress post-traumatique parmi les intervenants devient donc une stratégie non seulement pour leur bien-être, mais aussi pour l’efficacité de l’intervention humanitaire, a-t-il conclu.

RDC: le Réseau des Femmes Leaders pour l’Accès à la Parole (RFLAP) appelle à la protection des civils et met en garde contre la violence sexuelle dans l’Est

Le RFLAP appelle toutes les parties prenantes au conflit à respecter scrupuleusement le droit international humanitaire, et à garantir la protection des civils.
Le Réseau exhorte toutes les parties prenantes à intensifier leurs efforts pour prévenir de telles atrocités et à veiller à ce que les femmes et les jeunes filles soient protégées.
Le Réseau insiste sur l’importance de préserver leur droit à la sécurité, à l’éducation et à un avenir exempt de toute forme de violence ou de recrutement forcé.
À travers cette déclaration, le Réseau des Femmes Leaders pour l’Accès à la Parole réaffirme son engagement à défendre les droits des femmes, des enfants et des populations les plus vulnérables en période de conflit.
Il appelle à une action immédiate, forte et concertée pour mettre fin à cette crise humanitaire dévastatrice et garantir la dignité et la sécurité de tous les civils.

RDC : Equity BCDC lance “Pour elles”, un programme pour soutenir l’entrepreneuriat féminin

Ce programme d’accompagnement technique et financier se déploie actuellement à Kinshasa et Bukavu, dans la province du Sud-Kivu.
Ce dernier cherche à améliorer la performance et la viabilité des projets entrepreneuriaux des femmes grâce à un accompagnement ciblé.
Au total, 677 femmes ont répondu à cet appel, dont 584 à Kinshasa et 93 à Bukavu.
Cependant, pour cette phase pilote, l’objectif était de soutenir 150 femmes, soit 100 à Kinshasa et 50 à Bukavu.
La première, de 3,5 mois, sera consacrée à des formations couvrant plusieurs thématiques essentielles à l’entrepreneuriat.

Ambassade des USA fermée momentanément : « Nous encourageons les citoyens américains à partir via des vols commerciaux lorsqu’ils estiment pouvoir se rendre en sécurité à l’aéroport », écrit la représ

Elle appelle ses ressortissants à quitter le pays « tant que les options commerciales restent disponibles », tout en rappelant que l’aéroport de N’Djili demeure opérationnel.
« Nous encourageons les citoyens américains à partir via des vols commerciaux lorsqu’ils estiment pouvoir se rendre en sécurité à l’aéroport », a déclaré l’ambassade dans un communiqué.
Toutefois, elle met en garde contre des barrages routiers et des manifestations susceptibles de perturber l’accès à l’aéroport.
L’ambassade invite ses ressortissants à se tenir prêts, en préparant des sacs contenant des articles essentiels tels que des vêtements, des médicaments et leurs documents de voyage.
Les combats entre les Forces armées congolaises (FARDC) et les rebelles du M23 se poursuivent, notamment autour de l’aéroport et de la grande barrière, à la frontière avec le Rwanda.

Opposée à l’agression de la RDC, la Belgique convoque le Chargé d’affaires rwandais après la prise de Goma

La Belgique a convoqué mardi le Chargé d’affaires par intérim de l’ambassade du Rwanda, André Bucyana, à la suite de la prise de Goma par les rebelles du M23 soutenus par l’armée rwandaise (RDF).
Cette convocation, organisée par le Service Public Fédéral (SPF) Affaires étrangères, visait à réitérer la position ferme de Bruxelles sur la situation à l’Est de la République démocratique du Congo (RDC).
La Belgique a renouvelé son appel au retrait immédiat des troupes rwandaises du territoire congolais et à l’arrêt de tout soutien au M23.
Bruxelles, en coordination avec l’Union européenne, a exhorté les rebelles à stopper immédiatement leur progression et à se retirer des zones occupées.
« La sécurité du personnel de l’ambassade et de la communauté belge reste notre priorité absolue », a indiqué le ministère.

Manifestations contre l’agression rwandaise : “Ce que la population a fait aujourd’hui est un sursaut patriotique” ( Blaise Kilimbalimba)

“Il faut noter que ce sont des manifestations spontanées.
Malgré que nous avons des boucliers pour stopper des jets de pierres qui ont déjà blessé des policiers, mais, c’est notre métier.
Nous protégeons les manifestants, selon la règle de l’art”, a déclaré Blaise KilimbalimbaA en croire le commissaire divisionnaire adjoint de la police, “ce que la population a fait aujourd’hui est un sursaut patriotique.
On ne peut que dire que la population est dégoûtée.
La suite est au gouvernement de continuer à déployer les énergies afin de trouver une solution définitive”

Conflit à l’Est : au travers du M23, “Kigali veut contrôler et gérer le Kivu”

Une feuille de route a été signée à Kigali, en octobre 2019, entre le M23 et des représentants congolais.
Des accords ont aussi été signés avec le HCR (Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés, NdlR) pour leur rapatriement au Congo.
Pas seulement pour des raisons économiques, comme on l’entend souvent, mais aussi pour des raisons sécuritaires.
Ils craignent une espèce de contamination idéologique sous l’influence des FDLR et des Hutus congolais contre le pouvoir Tutsi.
Peut-on imaginer de les remettre à la table de négociation après les derniers événements et leurs dernières déclarations ?

DeepSeek se dit être victime d’une cyberattaque à grande échelle

Elle a précisé que les personnes ayant déjà un compte pourront se connecter comme d’habitude.
DeepSeek peut communiquer dans plusieurs langues, mais a indiqué à l’AFP qu’il maîtrisait surtout l’anglais et le chinois.
Cela signifie que le code de l’application est accessible à tous, permettant de comprendre son fonctionnement et de le modifier.
Alexandr Wang de Scale AI a estimé sur X que DeepSeek est « un signal d’alerte pour l’Amérique ».
Le succès de DeepSeek montre que les entreprises chinoises commencent à surmonter les obstacles auxquels elles sont confrontées.

Toute vente publique des biens confisqués sans respect de la procédure est nulle, selon certains juristes

Selon l’avocat, lorsque la procédure requise en droit congolais n’est respectée, plus tard le condamné fugitif dont les biens ont été saisis et vendus aux enchères pourrait obtenir un jugement de recouvrement de ses biens.
La En effet, le magazine de promotion des droits et devoirs explique avec me Jean-Marie Kabengela Ilunga la procédure d’une vente publique des biens confisqués à quelqu’un conformément au droit congolais.
En exécution des arrêts de la Cour militaire et de la Haute Cour militaire condamnant le président de l’Afc et ses coaccusés à la peine de mort pour terrorisme et crime contre l’humanité, le ministre de la Justice annonce pour le 30 janvier la vente publique d’une dizaine de biens immobiliers de Nangaa confisqués.
Comment procède-t-on justement pour vendre aux enchères des biens saisis ?
En général, que dit la loi concernant la vente publique d’un bien confisqué et en particulier pour le cas Corneille Nangaa ?Droits et Citoyenneté est une production de Jeef NGOY MULONDA.

Attaques contre des ambassades : les Etats-Unis appellent leurs ressortissants à quitter la RDC

2025-01-282025-01-282025-01-282025-01-28Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/27-31/kinshasa_manif_agression_rwandaise_ambassade_des_usa_en_rdc_25.pngLes Etats-Unis ont appelé, ce mardi 28 janvier 2025, leurs ressortissants à quitter la République démocratique du Congo, quelques heures après que leur ambassade et plusieurs autres représentations étrangères à Kinshasa ont été prises pour cible par des manifestants.
« En raison d’une augmentation de la violence dans la ville de Kinshasa, l’ambassade des États-Unis recommande aux citoyens américains de se mettre à l’abri sur place et partir en sécurité », a indiqué l’ambassade des Etats-Unis en RDC dans un message publié sur son site internet, en soulignant que « les vols commerciaux au départ de l’aéroport N’Djili de la Kinshasa sont encore ouverts ».

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