Sud-Kivu : un mouvement migratoire observé au poste frontière Ruzizi 1er à Bukavu

À en croire le Porte-parole du gouvernement congolais, la ville de Goma est marquée par la présence de l’armée rwandaise.
» Avec qui le gouvernement collabore-t-il pour expulser le Rwanda suite à la conquête de Goma ?
Vous avez échoué, menti comme des gamins (où est passé “Mr à la moindre escarmouche” et la prétendue montée en puissance de l’armée).
Aussi, Ils ont remis la peine de mort “à la mode”, cet homme mériterait le couperet de la guillotine.
Tshilombo ne fait pas ce qu’il dit et ce qu’il pense.

Alors que les conflits armés s’enlisent dans le Nord-Kivu, particulièrement ceux liés aux djihadistes ADF, dans le nord, et au M23, dans le sud, d’anciens soldats démobilisés à Butembo ont exprimé leur souhait de reprendre les armes au côté des troupes congolaises.
Kambale Vianney, un de leurs porte-paroles, l’a dit jeudi 23 janvier dernier à la presse.
Toutefois, il a plaidé pour un encadrement de la part du gouvernement, estimant qu’à ce stade de la situation, leur apport sur le plan opérationnel pouvait également compter dans la recherche de la paix dans la contrée.
Les anciens militaires ont ainsi sollicité une dotation et des équipements auprès du gouvernement afin de s’engager sur le front contre le M23, notamment.
Sur demande de Félix Tshisekedi, des jeunes patriotes dits Wazalendo se sont alliés aux FARDC face aux avancées du M23 dans le Nord-Kivu.

2024-12-262024-12-262024-12-262024-12-26Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/23-29/conflit_mbole_et_lengola_tshopo_26_dec_2024.jpgLes déplacés du conflit communautaire Mbole-Lengola hébergés dans des familles d’accueil sollicitent la médiation du président de l’Assemblée provinciale de la Tshopo dans le processus d’identification des déplacés du conflit communautaire Mbole-Lengola.
À en croire ces victimes, depuis que Fonarev a commencé le processus d’identification des déplacés du conflit communautaire Mbole-Lengola, eux qui sont dans des familles d’accueil ne sont pas pris en compte.
« Nous, les déplacés qui sommes dans des familles d’accueil, ne sommes pas enregistrés, nous ne recevons aucun soutien.
Nous souffrons énormément comparativement à nos frères qui sont dans des sites », a-t-il renchéri.
Attentif aux réclamations de la population, le président de l’Assemblée provinciale, Mateus Kanga Londimo, a promis d’entrer en contact avec Fonarev pour voir, dans la mesure du possible, comment rencontrer leurs indignations.