Kinshasa : après une journée agitée… l’accalmie

2025-01-122025-01-122025-01-122025-01-12Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/06-12/fabien_kambinzi_kifwa_president_de_l_unpc_sous_section_de_kikwit.jpgL’Union nationale de la presse du Congo (UNPC) sous-section de Kikwit, province du Kwilu dans le Sud-Ouest de la République démocratique du Congo (RDC), a tenu une réunion avec les professionnels des médias mardi 11 janvier donnant lieu à l’identification des journalistes professionnels et personnels des médias.
Au cours de cette réunion, le président de l’UNPC, Fabien Kambinzi Kifwa, a affirmé avoir constaté trop de plaintes et le non-respect des règles du métier.
Il a dénoncé le clientélisme, l’inclusion dans la vie privée des paisibles citoyens et l’atteinte à la dignité des autres.
“Aujourd’hui, l’heure a sonné pour que cesse ce laisser-aller et redorer le blason terni de ce noble métier où rime le respect du Code d’éthique et de déontologie, la sagesse, l’intelligence et la responsabilité.
Désormais, tout dérapage ne sera plus toléré”, a-t-il déclaré tout en invitant les journalistes et professionnels des médias à dresser leurs fronts longtemps courbés pour une presse respectable et assainie dans cette ville.

Kinshasa, 27 décembre 2024 (ACP).– L’écrivain et initiateur du mouvement littéraire ‘‘Les plumes conscientes’’, Tiguy Elebe Motingiya de la République démocratique du Congo, a expliqué vendredi dans un entretien accordé à l’ACP, les multiples bienfaits de la musique dans la tâche d’écriture.
Pour plusieurs écrivains que j’ai eu à côtoyer, la musique leur sert d’une muse précieuse.
Ça veut dire en d’autres termes que la musique a de multiples bienfaits dans la tâche d’écriture », a déclaré l’écrivain Tiguy Elebe Motingiya.
Nécessité de choisir les mélodies selon les prédispositions de chacun« Il faut pour cela choisir une musique qui vous sied.
Aussi, est-il l’initiateur d’un espace de promotion de la culture en général et de la littérature en particulier basé à Kinshasa, signale-t-on.

Révoqué vendredi dernier, le ministre provincial du Kongo-Central en charge de l’Intérieur, Constant Mamvidila, a été condamné par la Cour de cassation à cinq ans de prison, mardi 17 décembre.
La Cour le jugeait en procédure de flagrance après la diffusion d’une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux, le montrant en train d’ordonner à sa garde de fouetter publiquement un homme qui lui aurait manqué de respect.
La Cour qui avait ordonné l’arrestation et le transfèrement à Kinshasa de Constant Mamvidila à la suite de ces images choquantes, l’a reconnu coupable de violation grave des droits humains à la suite de ce procès en flagrance.
Cette décision de la justice est saluée par la Fédération des organisations de défense des droits de l’homme du Kongo-Central.
« Nous avons suivi avec attention le procès de l’ex-ministre provincial de l’Intérieur, Constant Mamvidila, au niveau de la Cour de cassation.