Guerre dans l’Est de la RDC : Nouvel Élan salue l’annonce de la rupture des relations diplomatiques avec le Rwanda

2024-12-162024-12-162024-12-162024-12-16Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/16-22/moise_mussa_kabwankubi_gouverneur_du_maniema_devant_les_elus_prov.jpgL’Assemblée provinciale du Maniema a déclaré recevable le projet d’édit budgétaire 2025 au cours de la plénière tenue samedi 14 décembre.
Ce projet est chiffré à plus de 406 milliards de francs congolais avec un taux de croissance de 30 % par rapport au budget de l’année passée.
“Un sentiment de satisfaction parce que notre projet d’édit budgétaire vient d’être adopté à l’unanimité par 100 % des députés.
Et nous pensons que d’ici juin 2025, les véhicules vont quitter Kisangani pour arriver à Kindu avec de la marchandise.
De cette manière-là, la vie sera encore plus meilleure à Kindu qu’avant”, a-t-il renchéri face à la presse après la présentation et défense du projet d’édit budgétaire de la province du Maniema pour l’exercice 2025.

La République Démocratique du Congo se trouve confrontée à une multitude de défis, chacun d’eux se présentant comme à la fois urgent et crucial pour le développement harmonieux du pays.
Tous ces défis peuvent, en réalité, être inscrits dans le cadre d’une lutte plus vaste contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, une problématique à laquelle la RDC s’est engagée depuis 2004, mais qui n’a connu que peu d’avancées significatives.
Il n’est pas superflu de rappeler que la recrudescence des violences armées dans l’est du pays serait aussi alimentée par ce fléau insidieux.
Celles-ci doivent constituer des remparts solides contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme au sein de la société congolaise.
Il va sans dire que la sortie de la République Démocratique du Congo de la liste grise du GAFI ne devrait pas être considérée comme le sommet à atteindre.

L’accès à la justice des populations congolaises vulnérables est très difficile à Kinshasa et partout ailleurs.
La pauvreté, l’ignorance, l’éloignement des juridictions, le coût élevé des frais judiciaires, constituent autant de problèmes qui rendent l’accès à la justice difficile, selon nos sources.
Et pourtant, la RDC se veut un Etat de droit et l’un des piliers de l’Etat de droit c’est la justice qui comprend quelques grands principes pour son bon fonctionnement.
– Quand et où porter plainte lorsqu’on est lésé dans ses droits ?
– Est-ce qu’il faut forcément payer de l’argent lorsqu’on va porter plainte contre une tierce personne à la justice ?