RDC : le député honoraire Jean-Baptiste Kasekwa remporte le premier prix Kanyaka du CNPAV pour son rôle dans la lutte contre la corruption lors de la législature de 2019-2023

Kinshasa, 12 décembre 2024 (ACP).- La parentalité positive a été recommandée jeudi à Kinshasa en République démocratique du Congo, pour construire l’estime de soi des enfants, filles et garçons dès leur tendre enfance, par un expert en genre, lors de la campagne « Jeudi en noir », organisée chaque semaine à travers le monde.
« J’invite tous les parents à adopter une parentalité positive centrée sur la construction de l’estime de soi des enfants, filles et garçons dès leur tendre enfance », a déclaré Carlin Vese Pinzi, expert en genre, masculinités et féminités positives.
C’est dans la primo enfance que le travail de construction de l’estime de soi, du pouvoir intérieur doit commencer auprès des enfants pour un avenir basé sur la bonne estime de soi, la bonne résilience.
Il a aussi a remercié toutes les femmes et filles qui encouragent le processus transfortionnel d’attitudes et comportements toxiques des hommes et garçons pour des modèles alternatifs des masculinités.
Elle est inspirée de différents mouvements, notamment l’Association des mères de la place de Mai d’Argentine qui, tous les jeudis, se rassemblaient pour protester contre la disparition de leurs enfants pendant la dictature et la Communauté des femmes noires d’Israël et de Palestine, qui manifestent encore aujourd’hui contre la guerre et les violences.

L’objectif est d’insuffler une nouvelle dynamique pour défendre efficacement le territoire national et répondre à l’agression rwandaise menée par le M23.
Cette délégation était conduite par le nouveau chef d’état-major général des FARDC, le lieutenant-général Jules Banza Mwilambwe.
Le patron de la Défense nationale a exhorté ses hôtes à renforcer la collaboration entre les différents corps de l’armée et à améliorer les performances des unités sur le terrain », rapporte la cellule.
La réorganisation des FARDC intervient dans un contexte marqué par une recrudescence des violences dans l’est du pays.
Parallèlement, la communauté internationale, notamment par l’intermédiaire de la MONUSCO, continue de documenter des violations massives des droits humains dans la région.

Selon lui, ce projet viserait à prolonger le pouvoir du président Félix Tshisekedi sous couvert d’une transition vers une nouvelle république.
Un scénario de quatrième république« Le président ne va pas faire un troisième mandat parce qu’ils sont en train de faire un coup d’État constitutionnel !
Une opposition farouche au changement constitutionnelLe Dr Kabange Numbi a également rappelé l’opposition ferme de son parti à toute tentative de révision de la constitution, la qualifiant de « ligne rouge ».
« Le changement de la constitution n’est pas constitutionnel !
Celui qui fait le changement de la constitution fait un coup d’État constitutionnel », a-t-il insisté.