Day: January 25, 2025

Plusieurs quartiers de la ville de Goma, chef-lieu du Nord-Kivu, sont toujours dans le noir depuis vendredi 24 janvier.
Cette situation est due aux dommages causés sur la ligne de la société Virunga Energie à la suite des affrontements entre l’armée congolaise et les rebelles du M23 sur l’axe Kibumba, en territoire de Nyiragongo.
Mercredi dernier, la ligne haute tension de la Société national d’électricité, (SNEL), desservant Goma en électricité en provenance de Bukavu (Sud-Kivu), avait également était endommagée à la suite ces combats dans la zone de Nzulo, en territoire de Masisi.
Le Directeur général de Virunga Energie, Ephrem Balole dit pour l’instant évaluer la situation sur le terrain.
Mais dans un communiqué officiel publié samedi dans la soirée, il a affirmé que ses équipes pourront intervenir sur le réseau de Matebe, coupé au niveau de l’axe Kanyamahoro-Kibumba, dès que la situation sécuritaire le permettra.

La situation est toujours tendue ce samedi 25 janvier dans les zones de combats qui opposent depuis trois jours, l’armée congolaise et ses alliés aux rebelles du M23, notamment sur l’axe Kasengesi-Mubambiro, autour de la cité de Sake ainsi que sur l’axe Kanyamahoro-Kibumba, en territoire de Nyiragongo, (Nord-Kivu).
Des sources locales rapportent que des détonations d’armes lourdes et légères entendues presque toute la nuit de vendredi par les habitants de Goma, ont continué jusque ce samedi 25 janvier, accroissant la panique dans la ville.
Des sources contactées dans les zones proches de ces deux lignes de fronts indiquent que, sur l’axe Sake, l’armée congolaise appuyée par ses alliés notamment les Wazalendo, les casques bleus de MONUSCO et les soldats de la force régionale, SAMI-RDC, poursuivent des tentatives de libérer les localités de Mubambiro et de Matcha, qui sont toujours occupées par les rebelles M23, autour du centre de Sake.
Selon ces sources, du côté de Kibumba, au nord de Goma, l’armée a, une fois de plus, contré, dans la nuit de vendredi à ce samedi, une nouvelle tentative d’attaque des rebelles sur ses positions stratégiques de Kanyamahoro et Kilima-Nyoka, dans le groupement de Buhumba.

Jusqu’à ce stade, on ne peut pas, même le tribunal ne peut pas parler d’empoisonnement », a déclaré Jules Ndumbi, assistant et chef de Pool au tribunal pour enfants Kalamu.
« Comprenez que même le tribunal ne sait pas se prononcer par rapport au manquement mais du moins nous savons qu’il y’a eu meurtre », a-t-il ajouté.
Il a fait savoir que seul le rapport du médecin légiste va permettre au tribunal d’être éclairé dans cette affairer pour qualifier le fait.
« Ce dossier est très sensible, c’est un dossier de mort d’homme, le premier devoir était de recueillir le médecin pour l’autopsie, c’est sur base du résultat de l’autopsie que le tribunal sera fixé», a-t-il insisté.
C’est en date du 1 janvier 2025 que le défunt et ses amis sont allés fêter, il était rentré le lendemain à la maison, soit le 02 janvier 2025.

Kinshasa, 25 janvier 2025 (ACP).- 52 bandits urbains communément appelés Kuluna ont été condamnés vendredi à la peine de mort pour terrorisme par le tribunal militaire de garnison de Kinshasa-Gombe, siégeant en procédure de flagrance à la maison communale de Kalamu, au centre de Kinshasa, en République démocratique du Congo.
Par ailleurs, le tribunal a déclaré non établie ladite infraction à charge de cinq prévenus, par conséquent il a prononcé leur acquittement.
Aussi, cette décision finale a prévu les dommages et intérêts alloués aux victimes, qui se sont constituées parties civiles dans ce procès.
Bien avant, l’organe accusateur avait requis la peine capitale à l’encontre de tous ces 57 prévenus.
Pour sa part, la défense avait plaidé non coupables pour ses clients soutenant que l’organe poursuivant a été en difficulté de présenter les preuves des griefs reprochés à leurs clients.

« À vous aussi je demande d’être ouverts, de vous confier à mes proches collaborateurs pour que vous soyez guidés.
« Vous avez vu des personnes qui se sont invitées pour faire le travail du procureur général près la Cour de cassation, pour faire le travail du ministère public.
Sachez que notre détermination ne reculera pas pour que le respect de la loi soit de stricte application », a-t-il dit.
Je vous encourage dans vos cabinets respectifs à faire le travail comme il se doit .
Il a émis le vœu de voir les uns et les autres se mettre ensemble pour résoudre les problèmes liés au bon déroulement du travail.

» Ces otages ont été remis après 447 jours de captivité à une délégation de la Croix-Rouge (CICR) dans la ville de Gaza.
Les quatre véhicules du CICR chargés de les reconduire sont arrivés les uns derrière les autres, encadrés de chaque côté par une rangée de combattants palestiniens.
Le nombre de détenus palestiniens qui doivent être libérés en échange, conformément à l’accord de cessez-le-feu en cours à Gaza, n’a pas été révélé.
Israël doit libérer 200 Palestiniens en échange des quatre otagesPar ailleurs, Israël doit libérer samedi 200 Palestiniens détenus dans ses prisons en échange de quatre soldates prises en otage par le Hamas le 7 octobre 2023, dans le cadre de l’accord de trêve.
Cette liste de prisonniers, dont certains seront ramenés à Gaza et d’autres en Cisjordanie occupée, comprend 120 condamnés à la réclusion à perpétuité, parmi lesquels 70 doivent être exilés hors des Territoires palestiniens.

De ce fait, le parti cher à l’opposant Martin Fayulu exprime sa solidarité à la population qui souffre des ravages de la guerre.
Au regard de la gravité et de la dégradation de la situation sécuritaire, l’ECIDé insiste sur la mise en place de son plan de cohésion nationale pour sauver le pays du danger.
« En ce temps de crise, la cohésion nationale, à laquelle nous avons appelé sans relâche, est aujourd’hui plus indispensable que jamais.
Après son décès, le gouvernement a décidé, lors du dernier conseil des ministres, d’élever à titre posthume Peter Cirimwami au grade de lieutenant-général.
Le chef de l’État, Félix Tshisekedi, a donné des instructions pour que des obsèques dignes de son rang soient organisées en sa mémoire.

2025-01-252025-01-252025-01-252025-01-25Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/20-26/gaza_otages_israeliennes_25.pngLes quatre soldates de l’armée israélienne retenues en otage par le Hamas ont quitté la bande de Gaza et sont désormais libres.
Les quatre soldates israéliennes retenues par le Hamas depuis le 7 octobre 2023 ont été remises ce samedi, peu après 9 heures, au Comité international de la Croix-Rouge (CICR).
Les otages doivent être libérés en échange de la libération de 180 Palestiniens emprisonnés ou détenus par Israël.
Plus tôt vendredi, les proches des otages toujours détenus par le Hamas ont appelé le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à garantir la libération de tous les captifs restants.
La guerre menée par Israël contre le Hamas a coûté la vie à plus de 47 000 Palestiniens, selon les autorités sanitaires de Gaza.