DGDA – Mobilisation des recettes : Bernard Kabese exhorte les agents et cadres à redoubler d’efforts pour atteindre les assignations fixées par le gouvernement pour 2025

JUSTICIA Asbl, une structure de la société civile œuvrant dans la promotion et la défense des droits de l’homme, s’est dite préoccupée par la détérioration de la situation politique, notamment après l’arrestation de John Mbangu à Lubumbashi, dans le Haut-Katanga.
“JUSTICIA Asbl est très sérieusement inquiète de la dégradation de la situation politique dans la province du Haut-Katanga, plus particulièrement à la suite de l’usage des méthodes barbares par les services de sécurité procédant à l’enlèvement et à la détention des opposants politiques en raison de leur opinion sur la gestion du pays.
Selon cette organisation, la politique d’intimidation ou d’étouffement des libertés d’expression et d’opinion est une pratique liberticide dans une démocratie et ne peut nullement favoriser l’émergence de la vérité.
Elle appelle également le Président de la République à donner l’ordre à ces services, qui dépendent de lui, de cesser les intimidations et le harcèlement contre les opposants politiques.
Plus tard, il a été aperçu dans une courte vidéo, en veste, ligoté et mis à terre, discutant avec ceux qui l’avaient emmené.

Face aux journalistes, Bemba a dénoncé les discours incendiaires prononcés par certains leaders religieux, avant de s’attarder sur les bénéfices auxquels profite l’Église catholique au travers de ces diocèses.
Sans nommément citer le nom du cardinal Fridolin Ambongo, Jean-Pierre Bemba a fustigé la manipulation et convié les leaders religieux à rassembler la population congolaise.
Prêt à citer les noms des gens qui mettent à mal la cohésion nationale, Jean-Pierre Bemba a promis de dévoiler les bourreaux de la République, dans la prochaine émission.
Visiblement, Jean-Pierre Bemba est favorable à la révision constitutionnelle et non au changement de la Constitution.
D’après lui, les matières pour la révision devraient toucher sur quatre dispositions reprises dans les articles ci-après : 1, 13, 51 et 198.

Kinshasa, 11 décembre 2024 (ACP).- Le sénateur Célestin Vunabandi Kan­yamihigo a recommandé, mardi, au Vice-premier ministre, ministre du Plan et de la Coordination de l’aide au développement d’accor­der un caractère légal et obliga­toire au plan de développement de la République démocratique du Congo (RDC), lors d’une plénière au Sénat.
« Il faut accorder un caractère légal et obligatoire au Plan de dévelop­pement de la République démocra­tique du Congo pour qu’il soit op­posable à tous.
Selon lui, cette légalité sera le seul gage pour la matérialisation effec­tive de la vision du Chef de l’Etat, notamment dans le cadre du Pro­jet de développement local de 145 Territoires.
Auparavant, le VPM en charge du Plan, Guylain Nyembo s’était étendu principalement sur la pro­blématique du recensement scien­tifique de la population afin de doter le pays des données statis­tiques fiables sur la démographie.
Plusieurs autres éléments des ré­ponses ont été passés au peigne fin, notamment celles liées au Plan National Stratégique de Dévelop­pement (PNSD), à l’atteinte par la RDC des objectifs du développe­ment durable (ODD) à l’horizon 2030, et au partenariat en rapport avec l’aide au développement.