Décès du gouverneur militaire du Nord-Kivu: «la meilleure façon de venger le général-major Peter Chirimwami est de récupérer toutes les localités occupées» (L’Armée)

La province du Haut-Katanga, située au sud-est de la République démocratique du Congo, fait souvent face à des flambées des prix de sacs de maïs, aliment de base pour 80% des habitants presque chaque année.
Malgré ces résultats encourageants, la production actuelle reste bien inférieure aux besoins estimés à 960 000 tonnes que la province a besoin.
« Nous devons introduire des alternatives comme le riz, les haricots, le manioc et les arachides, afin de renforcer la sécurité alimentaire et réduire la pression sur le maïs », a-t-il expliqué.
Avec une production bovine de 20 000 tonnes pour un besoin de 50 000 tonnes, les importations comblent l’écart.
Il a, aussi, cité l’amélioration des Infrastructures, l’accompagnement technique des agriculteurs et la construction de Silos de Stockage.

Dans un contexte où les rumeurs et la désinformation alimentent la méfiance au sein de la population du Kasaï-Central sur l’exécution des projets en cours, le président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, a choisi de réagir avec fermeté et lucidité.
D’après le compte rendu exploité par 7SUR7.CD ce lundi 30 décembre 2024, le chef de l’État a insisté sur l’urgence d’une communication claire et régulière concernant l’état d’avancement des projets en cours.
« Aussi, le président de la République a-t-il invité le gouverneur du Kasaï-Central, les ministres concernés en collaboration avec toutes les structures d’exécution des ouvrages, à communiquer suffisamment et régulièrement l’état de leur (projets en cours, NDLR) avancement pour éviter que la population ne sombre dans la désinformation.
Un rapport est entendu dans 60 jours », a notamment lu Patrick Muyaya, porte-parole du gouvernement central, dans le compte rendu.
Ses propos, bien que courageux pour certains, ont été perçus par d’autres comme un affront politique inapproprié, ajoutant une couche de tension à une situation déjà complexe dans la région.

Bukavu, 13 janvier 2025 (ACP).- Une séance de réflexion a été organisée dimanche par la Nouvelle dynamique de la société civile (NDSCI), à la paroisse catholique au quartier Kasha, dans la commune de Bagira, à Bukavu, au Sud-Kivu dans l’est de la République démocratique du Congo, a appris lundi l’ACP de source associative.
« Il est temps que le fils et filles du quartier Kasha se penchent sur un développement durable local.
« Une mobilisation et engagement collectif en évitant la division et les conflits de leadership doivent caractériser toute la population.
L’essentiel est de restaurer les droits de Kasha qui doit être un véritable modèle de développement au Sud-Kivu », a-t-il ajouté.
Depuis le début des années 2000, les habitants de Kasha ont toujours manifesté un souci de développer leur entité qu’ils souhaitent être érigée en commune autonome.