RDC: lancement de la phase pilote du module logistique import fluviale attendu le 27 janvier

Trois personnes sont mortes et une moto détruite à la suite d’un accident de circulation dans la soirée du mercredi 25 décembre sur le tronçon Beni-Oicha.
La police interpelle les conducteurs à la prudence.
« Nous sommes en train de sensibiliser la population, à des périodes comme celle-ci, des gamins tentent aussi à se mettre sur la voie publique pour conduire.
Car cela constitue aussi une infraction », a rappelé Nasson Murara, chargé de communication de la police dans la ville de Beni.
Selon lui, la Police de circulation routière (PCR) sensibilise et interpeller ceux qui se retrouvent sur la voie publique sans remplir les conditions requises.

Kinshasa, 13 janvier 2025 (ACP).- Le président mozambicain, Filipe Nyusi a investi lundi la nouvelle assemblée nationale sans avoir prêté serment après des élections contestées du 9 octobre dernier, a appris l’ACP des médias internationaux.
Par ailleurs, les deux principaux partis d’opposition, la Renamo et le MDM, le Mouvement démocratique pour le Mozambique, ont annoncé hier leur boycott.
De son côté, l’opposant Venancio Mondlane, candidat malheureux à la présidentielle, a appelé samedi à trois jours de grève générale à partir de ce lundi 13 janvier.
Selon la même source,cette investiture s’est tenue dans une capitale transformée en ville fantôme, suite à l’appel à la grève générale de l’opposant Venancio Mondlane.
Devant l’Assemblée, Daniel Chapo, le président nouvellement élu, a rappelé la « nécessité de maintenir la paix et la stabilité » dans le pays.

Émile Mota s’était confié en ces termes : « Je suis le seul témoin et le dernier à lui avoir parlé, effectivement.
Le garde du corps vient, il arrive à la porte, il claque ses souliers, il salue.
Dans une longue évocation, Mirindi commence par relater l’ambiance oppressante qui régnait à la Présidence de la République avant la date fatidique du 16 janvier 2001.
D’après Mirindi, Eddy Kapend et « Joseph Kabila » auraient pillé les résidences de Mzee respectivement à Kinshasa et à Lubumbashi.
Un pays à l’époque en pleine guerre, divisé entre le gouvernement à Kinshasa et les rébellions RCD et MLC.