Plus de 3000 personnes sont mortes, en deux ans, à la suite des exactions de la milice Mobondo dans le territoire de Kwamouth (Mai-Ndombe) et dans la commune de Maluku (Kinshasa).
La CDJP a signalé que cette crise sécuritaire a produit un cortège de conséquences ayant plongé les communautés de Kwamouth et de Maluku dans une vulnérabilité extrême.
Elle est caractérisée par des déplacements forcés, des décès des civils et des militaires, une insécurité alimentaire accrue et un accès réduit aux services sociaux de base.
La CDJP a en outre sonné l’alarme sur l’urgence de la restauration de la paix dans cette région.
Cette interpellation de la CDJP rentre dans le cadre du Projet Lisanga, financé par la Direction générale de la Commission européenne en charge de l’aide humanitaire et la Caritas internationale Belgique.
Author(s): radiookapi.net
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