Day: January 24, 2025

Kinshasa, 24 janvier 2025 (ACP).- Le Mali, le Niger et le Burkina Faso ont annoncé l’introduction, à compter du 29 janvier, du nouveau passeport commun, intitulé «Alliance des États du Sahel», a rapporté vendredi africanews.
Sur le recto, il affichera la mention «Confédération des États du Sahel AES», ainsi que le nom du pays émetteur et ses armoiries.
Cette date coïncide avec leur sortie officielle de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
À partir du 29 janvier 2025, les citoyens des trois États souhaitant échanger leur passeport CEDEAO contre le nouvel exemplaire de l’AES pourront le faire.
Ce projet de passeport commun représente une avancée significative pour les pays de la confédération sahélienne, tout en préservant des relations avec l’organisation régionale dont ils se retirent.

«Le label littéraire Hallucine informe tout un chacun du report de l’activité officielle prévue pour ce samedi 25 janvier (…) à Kinshasa-Victoire pour de multiples raisons et urgences.
La nouvelle date de ladite activité est envisageable au mois de février prochain, après des pourparlers du comité en place pour expédier la situation à l’origine dudit report», a-t-on lu dans ce document de la direction du label.
«Nous demandons à nos respectables récipiendaires, férus de littérature, qui comptaient prendre part à cette messe littéraire ajournée, de garder le cap vers une nouvelle date qui vous sera bientôt communiquée.
Le premier acte est réservé pour la préparation du mariage et le deuxième fait état des différentes cérémonies du mariage (présentation de deux familles, discutions de la liste dotale, l’octroi des présents et fête).
Cette œuvre est basée sur certaines réalités, entourant le mariage en RDC.

Une marche de soutien aux forces armées de la République démocratique du Congo est prévue le 1er février prochain à travers la ville de Kinshasa.
Plusieurs structures de la jeunesse, des enfants et des femmes des militaires, ainsi que des députés nationaux élus des provinces touchées par l’agression rwandaise, à savoir le Nord-Kivu et le Sud-Kivu, vont également prendre part à cette manifestation.
« La jeunesse congolaise se mobilise pour soutenir les FARDC, wazalendo et le chef de l’État dans cette période de guerre à l’Est de la RDC.
Dans cette logique, la nouvelle génération politique pour la 4ème République organise une grande marche de soutien ce 1er février de Masina à l’échangeur de Limete, avec les jeunes de plusieurs structures, des enfants des militaires, les femmes des militaires au front, ainsi que la population », a déclaré Rabbi Nkulambe.
La marche partira de la commune de Masina, vers le marché de la liberté jusqu’à l’échangeur de Limete.

Le 30 janvier prochain, il sera procédé à la vente publique des biens immobiliers du président du mouvement rebelle Alliance du fleuve Congo (AFC) et ancien président de la CENI, Corneille Nangaa, condamné par la Justice, comme l’annonce le communiqué du ministre de la Justice.
Cette vente s’inscrit dans le cadre de l’exécution de deux arrêts de la Cour militaire et de la Haute Cour militaire ayant condamné l’année dernière Corneille Nangaa à la peine de mort pour terrorisme et crime contre l’humanité.
Mais d’après Me Jean-Marie Kabengela Ilunga, analyste juridique, le ministre de la Justice qui annonce cette vente n’en a pas compétence.
« Lorsque le bien est confisqué, il y a toute une procédure pour pouvoir procéder à la vente.
Au titre 8, il est indiqué comment on procède et c’est de la compétence de la juridiction présidentielle.

Plus de 3000 personnes sont mortes, en deux ans, à la suite des exactions de la milice Mobondo dans le territoire de Kwamouth (Mai-Ndombe) et dans la commune de Maluku (Kinshasa).
La CDJP a signalé que cette crise sécuritaire a produit un cortège de conséquences ayant plongé les communautés de Kwamouth et de Maluku dans une vulnérabilité extrême.
Elle est caractérisée par des déplacements forcés, des décès des civils et des militaires, une insécurité alimentaire accrue et un accès réduit aux services sociaux de base.
La CDJP a en outre sonné l’alarme sur l’urgence de la restauration de la paix dans cette région.
Cette interpellation de la CDJP rentre dans le cadre du Projet Lisanga, financé par la Direction générale de la Commission européenne en charge de l’aide humanitaire et la Caritas internationale Belgique.