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Bruxelles, 23/12/2024 (ACP).- La procédure de béatification du roi des Belges, Baudouin 1er, a été initiée le 17 décembre dernier, selon une note du dicastère des Causes des Saints, rapportent plusieurs médias occidentaux, dont Vatican News, spécialisé dans les affaires vaticanes.
« Le dicastère des Causes des saints, en charge des recherches sur les causes de béatification et de canonisation de l’Église catholique, a lancé la procédure autour de la béatification du roi Baudouin, avec la création d’une Commission historique ordinaire.
Celle-ci, composée d’éminents spécialistes de la recherche archivistique et de l’histoire de la Belgique, sera chargée de rassembler et d’évaluer la documentation autour du roi Baudouin », indique la note..Il ne s’agit que du début d’une procédure, qui pourrait se dérouler sur plusieurs années, selon des experts.
C’est le pape qui sera chargé, à terme, de procéder ou non à la béatification, via un décret pontifical.
Le roi Baudouin, qui régna sur la Belgique de 1951 jusqu’à sa mort en 1993, était bien connu pour sa foi chrétienne.

Les acteurs du secteur de la sécurité et les leaders communautaires du territoire de Nyiragongo (Nord-Kivu) ont réfléchi sur la problématique de la sécurisation des sites de déplacés installés dans ce territoire.
Le but de cette activité est de parvenir à garantir la sécurité des personnes déplacées de guerre, en même temps, assurer la coexistence pacifique entre ces personnes et les populations autochtones.
Il ressort du diagnostic posé en amont que des appréhensions autour de la propriété foncière et la circulation anarchique des armes dans le territoire de Nyiragongo, jusque dans les sites de déplacés, constituent la base de l’insécurité dans la région, en générale, et singulièrement pour les personnes déplacées internes.
Il paraissait urgent de rassurer les autochtones que les terres qui abritent les déplacés ne leur seront pas dépossédées.
Ces travaux visent également à obtenir l’engagement des responsables des unités des forces de défense et de sécurité, y compris les volontaires pour la défense de la patrie, présentes dans le Nyiragongo, de règlementer la circulation des armes.

La vérité rétablieD’ailleurs, en s’appuyant sur l’histoire, Sonko a remémoré à Macron les événements passés.
Fermement, il a dénoncé l’oubli et le mépris dont sont victimes ces héros africains.
Après le Burkina Faso, le Mali et le Niger, la Côte d’Ivoire a rejoint la liste des nations mettant fin à la présence militaire française sur leurs territoires.
Abderaman Koulamallah considère que « les dirigeants français doivent apprendre à respecter le peuple africain ».
Un engagement que « la France n’a jamais véritablement reconnu, ni les sacrifices consentis par les soldats africains.