Droit à l’avortement : le magistrat Edmond Mbokolo sensibilise les femmes congolaises à appréhender le protocole de Maputo

Kikwit, 21 novembre 2024 (ACP).- Les conséquences des ondes électromagnétiques ont été expliquées, samedi, à la jeunesse de Kikwit, au Kwilu, au sud-ouest de la République démocratique du Congo, lors d’une conférence organisée p à l’occasion du 10eme anniversaire d’existence du centre de langue et informatique père Joseph ada(CLIPA), a constaté l’ACP.
« A l’occasion du 10em anniversaire de l’existence de notre centre, nous avons voulu interpeller les jeunes sur les conséquences des ondes électromagnétiques par la mauvaise utilisation de nouvelles technologies de l’information et de la Communication », a déclaré l’intervenant, père PINDA KISUKU MICHEL, ingénieur en informatique.
Et d’ajouter : « les appareils que nous utilisons aujourd’hui, les téléphones, ordinateurs, tablettes, émettent des ondes qui nous traversent et qui ont un Impact négatif sur notre santé et sur l’environnement ; nous devons les utiliser à bon escient, en cas de besoin et les éloigner après l’utilisation ».
Une trentaine de participants parmi lesquels les professeurs, les enseignants, étudiants et autres catégories de la population ont pris part à cette conférence.

Le ministre de la Santé, Samuel Roger Kamba Mulamba, a déclaré, jeudi 5 décembre, que le Gouvernement est en alerte maximale à propos de la maladie qui décime la population dans la zone de santé de Panzi (Kwango).
Il a dressé un bilan de 27 décès enregistrés à l’hôpital et 44 décès communautaires.
A ce jour, ce sont les enfants de moins de 5 ans qui sont les plus affectés, avec un taux de contamination de 40%, a ajouté le ministre de la Santé.
Il dit attendre les résultats du laboratoire pour donner un traitement adapté aux patients, mais il souligne que les équipements et médicaments pour la prise en charge sont déjà disponibles.
Des sources locales dans la zone de santé de Panzi parlent d’une centaine de morts dans la communauté et dans les hôpitaux.

La République Démocratique du Congo se trouve confrontée à une multitude de défis, chacun d’eux se présentant comme à la fois urgent et crucial pour le développement harmonieux du pays.
Tous ces défis peuvent, en réalité, être inscrits dans le cadre d’une lutte plus vaste contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, une problématique à laquelle la RDC s’est engagée depuis 2004, mais qui n’a connu que peu d’avancées significatives.
Il n’est pas superflu de rappeler que la recrudescence des violences armées dans l’est du pays serait aussi alimentée par ce fléau insidieux.
Celles-ci doivent constituer des remparts solides contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme au sein de la société congolaise.
Il va sans dire que la sortie de la République Démocratique du Congo de la liste grise du GAFI ne devrait pas être considérée comme le sommet à atteindre.