Quelles sont les conséquences des conflits armés sur la santé mentale ?

Dans ces zones particulièrement touchées par des affrontements, plus de 178 000 personnes sont nouvellement déplacées, d’après le Bureau de coordination des affaires humanitaires (OCHA).
Une bonne partie de la population de Minova, dont des déplacés des anciennes crises, serait en déplacement vers le sud sud, dans les localités de Nyamasasa et Kinyezire.
Un petit nombre de déplacés est arrivé sur le site de Nzulo au Nord-Kivu par le port de Nzulo dans la nuit du 20 janvier.
Le M23 consolide sa présence dans des endroits stratégiques qui étaient tenus par l’armée.
C’est notamment à Kachiazo, Kitembo, et les collines surplombant le lac Kivu.

Cette sensibilisation s’est faite lors d’une rencontre organisée par la Fédération des d’entreprises du Congo (FEC) dans le cadre du projet de consolidation de la paix à travers le commerce transfrontalier dans la région des Grands Lacs.
Il s’agit d’entrepreneurs, agents de l’Etat, facilitateurs des affaires comme les agences en douanes et les regroupements des opérateurs économiques.
Tous ont salué l’élaboration de ce guide qui encourage le travail et la résilience des acteurs du monde des affaires au Nord-Kivu.
Tout le monde mange, même ceux-là qui sont à la base du conflit mangent.
Ce guide d’investissement sensible aux conflits est destiné à soutenir les opérateurs économiques non seulement de la RDC mais aussi du Burundi et du Rwanda.

Les combats se poursuivent ce mardi 3 décembre entre les Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) et les rebelles du M23 sur plusieurs lignes, à Hutwe, Mathembe et aux environs de Kaseghe (territoire de Lubero) au Nord-Kivu.
“Pour le moment, ce sont encore des tirs d’armes lourdes et légères qui dominent la zone de Mathembe, Hutwe et la partie Est de Kaseghe.
Les tirs sont un peu partout, mais on serait en train de dire que les FARDC s’orientent à Kaseghe, une zone contrôlée par les M23.
Au regard de l’ampleur des combats, des centaines de familles civiles ont abandonné des localités à Hutwe, Mathembe et Kaseghe se dirigeant vers des zones supposées sécurisées.
Les déplacés affluent notamment à Kitsombiro, Alimbongo, Kasingiri, Kirumba, Lubango et les environs.