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Selon le chef de l’État, le couloir vert Kivu-Kinshasa dépasse le cadre d’une simple initiative de conservation environnementale.
Il représente un projet ambitieux visant à protéger les écosystèmes forestiers et la biodiversité, tout en favorisant le développement économique et la promotion de la paix dans les provinces touchées par des conflits armés.
« Cette transition représente à la fois un défi et une opportunité, que nous sommes déterminés à saisir.
Félix Tshisekedi a également souligné que la création du couloir vert Kivu-Kinshasa s’inspire du succès du parc des Virunga au Nord-Kivu.
Il convient de noter que la loi n°14/003 du 11 février 2014 relative à la conservation de la nature a récemment été modifiée pour introduire la notion d’aire protégée à vocation communautaire.

A Davos, John Kerry promet son soutien au projet de mise en place du “corridor vert” Kivu-Kinshasa

L’ancien secrétaire d’Etat américain, John Kerry a assuré, mercredi 22 janvier, apporter son soutien au projet de la RDC de mettre en place un “corridor vert” Kivu-Kinshasa.
Il a donné la position de son pays au cours du Forum économique mondial qui se tient, à Davos (Suisse).
Et donc nous avons le pouvoir de changer l’histoire, mais aussi de gagner cette bataille dans laquelle nous sommes tous parties prenantes ».
Cet ancien secrétaire d’Etat américain est persuadé que le fleuve Congo peut être apprivoisé pour changer des vies et sortir les jeunes de la violence, leur trouver des emplois donc un avenir.
John Kerry a par ailleurs ajouté avoir l’intention de continuer à travailler pour la réussite du projet “corridor vert” Kivu-Kinshasa :« Il n’y a rien de plus terrible que d’annoncer un projet formidable et qu’ensuite rien ne se passe », a-t-il, fait savoir.

L’Eglise catholique sera présente à la prière du 9 février recommandée par le ministre de la Justice (Mgr Nshole)

Mgr Donatien Nshole, secrétaire général de la CENCO, l’a annonce à l’issue de sa rencontre mardi 21 janvier à Kinshasa avec le ministre Constant Mutamba, dans le but de solliciter la collaboration de l’Eglise catholique pour ce projet.
Personnellement, j’étais dans une mission il y a quelques années avant que la situation ne s’empire.
Il n’y a pas que des militaires, pensons à tous ces déplacés, à toutes ces familles, toutes ces personnes qui vivent dans la forêt, à toutes ces victimes, des enfants orphelins.
Donc ils ont besoin de la paix, ils ont besoin de la prière.
Ce serait l’occasion justement d’intensifier les prières que nous faisons déjà pour la paix », a indiqué le secrétaire général de la Conference épiscopale nationale du Congo.

Kwango : plus de 100 décès dus à la malnutrition aiguë à Panzi et Wambalwadi en 2 mois

Plus de 100 décès causés par la malnutrition aiguë ont été signalés entre novembre 2024 et le mois de janvier en cours dans les zones de santé de Panzi et Wambalwadi (Kwango).
Il se dit préoccupé par la crise alimentaire qui sévit depuis quelques mois dans le Kwango et plaide auprès de l’État congolais pour une réponse urgente et durable face à cette crise.
« Il y a l’insécurité alimentaire, il y a une malnutrition aiguë sévère et chronique qui fait rage dans la province du Kwango.
Et comme conséquences, il y a la mort en cascade dans les zones de santé de Panzi et de Wambalwadi.
Presque toutes les 5 zones de santé du territoire de Kasongolunda sont concernées par la malnutrition.

Pénurie du carburant à Lubumbashi : la population attend un signal du Gouvernement

La population de la ville de Lubumbashi demande au Gouvernement de trouver des solutions idoines face à la persistance de la pénurie du carburant, particulièrement de l’essence dans la ville cuprifère.
Cette plainte est partagée par beaucoup d’autres personnes qui sont dans la même situation.
Mercredi 22 janvier dans la matinée, les stations-services étaient pour la plupart fermées.
C’est qu’ a indiqué président, Joseph Twite , après la réunion que la corporation et le gouverneur de province :« La situation sera régularisée dans peu de jours.
Nous savons que la carence d’essence et partout que ce soit en Tanzanie, que ça soit en Zambie ou au Mozambique.

Foire internationale du tourisme : le ministre Didier M’Pambia met en avant les opportunités d’investissements dans le secteur touristique en RDC

2025-01-232025-01-232025-01-232025-01-23Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/20-26/Didier_Mpambia_250.jpegLa Foire internationale du Tourisme “Fitur 2025” a été ouverte le mercredi 22 janvier 2025 à Madrid par le Roi d’Espagne.
Par ailleurs, il faut souligner que la République démocratique du Congo prend également part à cette grande foire internationale du tourisme.
En outre, Didier M’Pambia a expliqué aux touristes présents à Madrid la vision du développement et de promotion du tourisme de la RDC, ainsi que toutes les opportunités offertes.
Le ministre du Tourisme a présenté aux visiteurs du stand de la RDC, l’écosystème des villages touristiques, projet qui doit offrir des emplois aux populations locales.
Cette participation au Fitur 2025 illustre l’engagement de la RDC à se positionner comme une destination incontournable sur la scène internationale.

Kinshasa : les éléments de la police ayant violenté une femme à Kimbaseke aux arrêts

2025-01-232025-01-232025-01-232025-01-23Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/20-26/policiers_aux_arrets_25.jpegAprès la diffusion dans la nuit du lundi 20 janvier sur les réseaux sociaux d’une vidéo montrant une femme violentée par plusieurs policiers la nuit dans la commune de Kimbaseke, le commissariat provincial de la police ville de Kinshasa a procédé ce mardi 21 janvier à leur arrestation.
Le commandant de la police ville de Kinshasa, le Commissaire divisionnaire adjoint Blaise Kilimbalimba a jugé inacceptable ce comportement des agents de l’ordre.
Notons que la ville de Kinshasa se démarque de plus en plus dans les bavures policières ainsi que le phénomène kuluna.
Les agents de l’ordre censés assurer la sécurité des citoyens sont loin de jouer pleinement leur rôle.
Chose que le général Blaise Kilimbalimba s’est engagé à améliorer pour doter la capitale congolaise d’une police capable d’assurer la sécurité de ses habitants.

Virus de Marburg : la Tanzanie confirme son premier malade positif

2025-01-232025-01-232025-01-232025-01-23Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/20-26/Marburg_virus_2410.jpgLa Présidente de la Tanzanie a confirmé le premier cas positif de la maladie à virus Marburg.
Cela inclut notamment « la surveillance des maladies, les tests, le traitement, la prévention et le contrôle des infections, la gestion des cas, ainsi que la sensibilisation des communautés pour éviter une nouvelle propagation du virus », a déclaré Dr Tedros.
Il appartient à la même famille que le virus responsable de la maladie à virus Ebola, selon des experts de santé.
La maladie causée par le virus Marburg débute brusquement.
D’après l’Organisation mondiale de la Santé, la Tanzanie a déjà signalé une épidémie de Marburg en mars 2023, la première du pays dans la région de Kagera.

Porter du rouge à lèvres peut-il être source d’intoxication ?

2025-01-232025-01-232025-01-232025-01-23Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/13-19/rougealevre.jpgLe rouge à lèvres est un produit cosmétique utilisé pour colorer, hydrater et parfois protéger les lèvres.
Porter du rouge à lèvres : peut-il provoquer une intoxication ?
2- Allergies ou sensibilités : Certaines personnes peuvent réagir à des ingrédients comme les colorants, les parfums ou les conservateurs, entraînant des irritations ou des réactions allergiques.
– Ne pas dormir avec du rouge à lèvres et le retirer soigneusement chaque soir.
En résumé, l’intoxication due au rouge à lèvres est extrêmement rare si vous utilisez des produits de qualité et dans des conditions normales.

Non, les données épidémiologiques ne sont pas exagérées pour justifier des financements

Une rumeur, largement répandue sur les réseaux sociaux, prétend que les statistiques liées aux épidémies, seraient volontairement gonflés pour justifier des financements.
En réalité, ces chiffres font l’objet de vérifications rigoureuses impliquant différentes parties prenantes, avant leur validation et leur publication.
C’est la mise au point faite par le docteur Dieudonné Mwamba, directeur général de l’Institut national de santé publique.
Pour écouter cette émission, cliquez sur le lien suivant :/sites/default/files/2025-01/16012025-p-f-lesfaitssontsacres-les-donnees-epidemiologiques-pad.mp3

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