48 heures après l’instauration du couvre-feu à Lubumbashi et Likasi (Haut-Katanga), l’ONG de défense des droits de l’homme Justicia ASBL note une baisse de la criminalité urbaine.
Il salue également la promptitude de l’intervention des patrouilleurs à la suite d’un appel d’urgence lancé par une famille en détresse mercredi 22 janvier :« On a enregistré un appel d’une famille à Lubumbashi qui a lancé une alerte sur la présence des bandits dans la parcelle.
Cependant, cet activiste des droits humains estime qu’il y a des mesures correctives qui doivent être prises rapidement pour éviter que le couvre-feu ne soit interrompu.
Il plaide notamment pour la multiplication des points de contrôle.
« Ceci évitera par exemple que pendant cette période où il pleut abondamment, que des malfrats en profitent pour opérer dans des quartiers où il n’y a pas suffisamment de barrières ».
Author(s): radiookapi.net
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