Guerre dans l’Est du pays : Patrick Muyaya invite la communauté internationale à tirer les conséquences sur le caractère belliqueux de Paul Kagame

Ce rendez-vous s’est déroulé à Genval, en Belgique, pour sa symbolique historique.
Seulement pour le moment, du moins, précise le porte-parole katumbiste, « il ne s’agit pas de plateforme politique.
Il ne s’agit pas d’une rencontre pour la conquête du pouvoir, mais plutôt d’une lecture commune au péril que notre pays va connaître du fait de la pyromanie du régime Tshisekedi qui veut s’éterniser au pouvoir ».
Et de renchérir : « c’est une question sur laquelle nous avons tous une lecture commune et pour laquelle, effectivement, la mise en œuvre de l’article 64 nous oblige à la résistance ».
C’est donc dans cette perspective, conclut Hervé Diakiese, que « des républicains se rencontrent et font taire leurs divergences pour sauver la patrie en danger ».

2025-01-152025-01-152025-01-152025-01-15Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/13-19/professeurs_universites_et_instituts_25.pngLe RAPUICO (Réseau des associations des professeurs des universités et instituts supérieurs du Congo) a décidé de maintenir le mouvement de grève, jusqu’à la convocation de travaux du comité de suivi des accords de Bibwa.
C’est ce qui ressort de la réunion tenue mardi 13 janvier, à Kinshasa, au siège de l’association des professeurs de l’université pédagogique nationale.
Dans leur note finale, lue par le professeur Pierre N’sana, le RAPUICO se félicite de la mobilisation des associations membres, pour le respect du mot d’ordre.
Cependant, ce réseau de professeurs des universités et instituts supérieurs dénonce à nouveau les intimidations et les actions de sabotage de certains comités de gestion.
Pour le RAPUICO, la convocation urgente de travaux dudit comité est le moyen privilégié, pour la concrétisation du dialogue social, tel que voulu par le président de la République, Félix Tshisekedi.

Le maire de la ville, Gérard Tshibanda Kabwe l’a annoncé ce mardi à la presse.
Il s’agit du commandant du commissariat urbain Mwene Ditu, son B3 et le commandant escadron d’intervention mobile (EMI).
Selon le maire de la ville, cette arrestation rentre dans le cadre de “renforcer les enquêtes” pour la traque du meurtrier des chinois, jusqu’à ce jour en cavale.
La mort des deux chinois le 1er Janvier 2025 impacte jusqu’à présent les travaux d’asphaltage de la route nationale numéro 1.
Les autorités ont annoncé une récompense d’un million de francs congolais pour quiconque va l’arrêter et le livrer aux services de sécurité.