RDC : l’opérationnalisation du 3ème module d’usine d’eau de l’Ozone annoncée pour 2025

Les infrastructures sont restées sous-développées, l’éducation et la santé publique ont été négligées, et les promesses de développement économique sont restées lettre morte.
La question de la crédibilité et de la responsabilité politiqueLa crédibilité de tout dirigeant repose sur sa capacité à répondre aux aspirations de la population et à assumer la responsabilité de ses échecs.
Dans le cas de Joseph Kabila, l’incapacité à établir une gouvernance transparente et efficace constitue un obstacle majeur à son retour.
Kabila et son clan n’ont pas démontré qu’ils étaient capables d’offrir une alternative crédible à la gouvernance défaillante qu’ils incarnent.
Le chemin est encore long, mais il commence par un refus catégorique de confier à nouveau le destin du pays à ceux qui l’ont trahi.

Le ministère de la Santé Publique, Hygiène et Prévoyance Sociale annonce, à travers un communiqué, que depuis le 24 octobre 2024, une maladie d’origine encore inconnue sévit dans la province du Kwango, précisément dans la zone de santé de Panzi.
Cette maladie a causé à ce jour le décès de 79 personnes, dont une majorité d’enfants âgés de plus de 15 ans, et a affecté 376 personnes.
Les symptômes rapportés chez les patients de cette maladie sont la fièvre, les maux de tête, l’écoulement nasal et la toux, la difficulté respiratoire ainsi que l’anémie.
Pour apporter une réponse rapide et efficace à cette situation préoccupante, le ministère de la Santé, à travers l’Institut National de Santé Publique (INSP) et le Centre des Opérations d’Urgences de Santé Publique (COUSP), a dépêché une équipe d’intervention rapide dans la zone affectée.
Les résultats des analyses de laboratoire seront communiqués dès qu’ils seront disponibles, et des mises à jour régulières seront partagées avec la population et les partenaires.

Selon Filimbi, cette initiative ne serait rien d’autre qu’une manœuvre visant à contourner les règles démocratiques et à s’accrocher au pouvoir.
Le mouvement dénonce avec vigueur cette tentative de « coup d’État constitutionnel et institutionnel », qualifiant la situation de « crise multiforme » qui nécessite des solutions concrètes et non des débats stériles.
Pour Filimbi, la proposition de révision constitutionnelle est non seulement inopportune mais également illégitime.
Selon Filimbi, le régime en place cherche à détourner l’attention de la population face à ses échecs en matière de gouvernance.
Filimbi appelle donc la population à la vigilance face aux « discours fallacieux et à la corruption » qui cherchent à manipuler l’opinion publique.