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Lors du briefing presse du jeudi dernier, le porte-parole des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) est revenu sur la guerre d’agression que subit le pays de la part de son voisin, le Rwanda.
Il a aussi tenu à souligner les prouesses des Forces armées qui, depuis 30 ans, défendent l’intégrité territoriale du pays.
Mais c’est cette armée qui fait en sorte que le Congo puisse rester ce qu’il est aujourd’hui.
Quant à la situation sur les lignes de fronts, il a assuré que les éléments de l’armée se comportent bien.
À l’en croire, les Forces armées congolaises avaient repris Masisi-centre, avant que les terroristes du M23 le reprennent hier dans l’après-midi.

Environ 400 ménages de retournés d’Angola ont reçu, mercredi 11 décembre, des articles ménagers de la part du Haut-Commissariat pour les réfugiés (HCR), à Kananga (Kasaï-Central).
Cette remise a été faite dans le site de Nkonko, dans la commune de Nganza, où ces retournés sont installés.
Parmi ces articles, il y a entre autres, les ustensiles de cuisine, les seaux, les nattes et les moustiquaires.
Nous avons des enfants et nous souhaitons que le HCR nous aide à scolariser nos enfants ».
Ces familles retournées d’Angola sont installées sur deux sites de Knanaga à savoir Nkoko, commune de la Nganza et à Tshilumba dans la commune de Katoka.

Actuellement, je collabore avec « Enable the Disable Action » (EDA), dans le cadre du projet Youth4Climate financé par le PNUD.
En observant la déforestation galopante dans la région, surtout autour des camps de déplacés, j’ai voulu proposer une alternative durable.
J’ai vu l’opportunité d’aider à la fois à la protection de l’environnement et à l’autonomisation des personnes, notamment les femmes et les jeunes, en les formant à la fabrication de ces briquets à partir de déchets organiques.
Aujourd’hui, ce sont principalement les jeunes et les femmes leaders du camp qui assurent la formation des nouveaux venus à la fabrication des briquets.
Quel message aimeriez-vous transmettre aux autres femmes ou jeunes filles intéressées par l’entrepreneuriat, surtout dans des contextes difficiles comme celui des camps de déplacés ?