Rareté de carburant à la pompe à Lubumbashi

Kinshasa, République démocratique du Congo, 16 décembre 2024 (#ACP_Debunkage).- La nouvelle circulant sur les réseaux sociaux affirmant que les mères des bandits urbains, appelés « Kulunas », condamnés à la peine de mort, seraient descendues dans les rues pour protester, est fausse et constitue une fake news de rumeur.
Origine de la rumeurCette fake news a été diffusée à partir d’un post publié sur le compte Facebook « Jackson Mandeti Jmm ».
Contexte : Peine de mort pour les KulunasLe 3 décembre 2024, le ministre de la Justice, Constant Mutamba, a annoncé l’application stricte de la peine de mort contre les Kulunas, sur instruction du président Félix Tshisekedi.
Les Kulunas appréhendés sont jugés pour terrorisme et condamnés en fonction de la gravité de leurs actes.
ConclusionContrairement à ce qui a été relayé sur les réseaux sociaux, aucune manifestation des mères des Kulunas condamnés à la peine de mort n’a eu lieu à Kinshasa.

Le ministre du Commerce extérieur, Julien Palu a jugé, lundi 30 décembre, injustifiée l’exclusion du café et des cacaos congolais du marché de l’Union européenne.
Selon Julien Paluku, l’Union européenne devra, dans cette tripartite, expliciter le règlement voté par son Parlement alors que le Gouvernement va défendre la position de la RDC.
Création d’un couloir Kivu-KinshasaJulien Paluku a annoncé la volonté du Gouvernement de créer un couloir entre la région du Kivu et Kinshasa en vue de circonscrire trois types de zones : agricole, forestière et urbanistique.
Il a indiqué que cette démarcation va aider le pays à démontrer à la face du pays de protéger l’environnement.
« L’autre mesure du Gouvernement est d’intensifier les zones économiques spéciales travers la République pour permettre aux opérateurs économiques de commencer la transformation.

Goma, 11 décembre 2024 (ACP).- Certaines jeunes filles de Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, dans l’Est de la République démocratique du Congo, se démarquent tant soit peu, dans l’auto prise en charge pour lutter contre le chômage et la dépendance, a appris l’ACP mercredi dans un entretien avec certaines d’entre elles.
« Je suis fière de mon travail et passionnée dans la vente des denrées alimentaires.
Au lieu d’être femme libre ou fille de la rue, je préfère foncer avec mon petit commerce.
Ceci me permet de subvenir à mes besoins personnels et aider de fois mes parents à la maison.
Elle estime, enfin, que son apprentissage, malgré les différents risques auxquels elle s’expose, constitue un exemple et un appel à toutes les filles de la province du Nord-Kivu.