Elim/ Coupe du Monde U17-dames: « Il y a beaucoup des erreurs à corriger de mon côté pour arriver à faire mieux contre le Bénin » (Baylon Kabongolo)

Les travaux de construction de la Route nationale numéro 1 (RN1) sont déjà à 52% d’avancement physique et avec un délai de 89%.
Cette précision a été donnée par Jack Awan Moxia, ingénieur-chef technicien du projet de la mission de contrôle et chef de mission par intérim de la société Arab Contractors, qui exécute les travaux.
Selon lui, cette entreprise compte solliciter une prolongation de 6 mois pour achever les travaux.
Le délai contractuel expire le 16 mars 2025, mais vu l’avancement des travaux, ce n’est pas sûre que ce délai serait ténu.
Il est question de voir si l’entreprise peut avoir une prolongation de délai, seulement pour 6 mois, pour achever les travaux”, a-t-il déclaré à 7SUR7.CD.

2024-12-062024-12-062024-12-062024-12-06Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/02-08/francois_rubota_presse_24.jpgL’ancien ministre du Développement durable, François Rubota, s’est dit favorable au changement de la Constitution afin de supprimer certaines institutions budgétivores dans le but de réduire le train de vie des institutions publiques du pays.
Outre le Sénat, François Rubota a expliqué que les assemblées provinciales sont également des institutions inutiles qui créent le dysfonctionnement dans les provinces à cause des conflits récurrents avec les gouverneurs.
Le premier édit, c’était la mise en place des directions chargées des recettes provinciales et le deuxième, c’est le budget provincial.
En dehors de ça aucun autre édit sauf qu’on reste dans cette situation de conflictualité entre les gouverneurs des provinces et les assemblées provinciales.
Dans sa logique, François Rubota a également listé le Conseil économique et social, ainsi que le Csac parmi les institutions inutiles et budgétivores.

Aujourd’hui, les Congolais, nouveaux vainqueurs, doivent écrire eux-mêmes leur histoire », a déclaré le professeur Mathieu Zana Etambala, historien congolais, au cours du débat qui a suivi la projection.
Le film « Panda Farnana, un Congolais qui dérange » retrace la vie de ce Congolais, né dans l’actuelle province du Kongo central, et arrivé en Belgique en novembre 1895, à l’âge de sept ans.
Il est ensuite envoyé au Jardin botanique d’Eyala, dans la province de l’Equateur puis à la Station agricole de Kalamu près de Boma, au Kongo central.
Plus tard, grâce à un prêtre jésuite travaillant aux Etats-Unis, Paul Panda entre en contact, en 1922, avec les milieux afro-américains.
Il s’engage dans les combats sociaux et les revendications humanistes, décriant notamment les atrocités dans la colonie, les enlèvements des enfants métis de leurs parents et la débauche des colons sur les femmes noires.