Un concert en hommage à l’animateur Doudou Adoula prévu samedi à Kinshasa

2024-12-032024-12-032024-12-032024-12-03Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/alesh_a_la_jeunesse_congolaise_lisez_la_constitution_ne_laissez_pas_les_politiciens_vous_tromper_sur_son_contenu.jpgLe dossier sur la révision constitutionnelle continue à faire couler beaucoup d’ancres et des salives.
Au stade actuel, alors que Félix Tshisekedi convie la population à s’approprier la proposition de la révision constitutionnelle, l’opposition regroupant des partis politiques font bloc pour barrer chemin à cette initiative, qui, à leur en croire, est dans l’optique d’ « éterniser le régime en place au pouvoir ».
Réagissant, le rappeur congolais Alesh en a profité pour sensibiliser la jeunesse.
Dans ses propos, celui qui se fait appeler le « King Alesh » appelle les jeunes à lire attentivement la Loi et à éviter toute interprétation émanant des politiques.
Lisez la constitution, ne laissez pas les politiciens vous tromper sur son contenu », a-t-il écrit sur son compte X (anciennement Twitter).

Le président de la République Félix Tshisekedi a, dans son discours prononcé ce mercredi 11 décembre 2024, devant le Parlement réuni en congrès, appelé à un engagement pour une réflexion nationale sur une réforme constitutionnelle.
Tshisekedi soutient sa vision de révision constitutionnelle par le blocage et le retard connu pendant le processus de désignation de la première ministre Judith Suminwa.
« Mon mandat a été marqué par un démarrage raté ou plutôt retardé, notamment en raison du temps nécessaire mis pour la désignation de la Première ministre et la mise en place des institutions conformément aux prescrits de notre constitution.
Cependant, cette situation nous invite à une réflexion commune.
Il est peut-être temps d’engager une réflexion nationale sur une réforme constitutionnelle », a dit Félix Tshisekedi.

2025 (ACP).- La dénonciation des violences psychologiques a été encouragée pour éviter la dépendance affective développée par les victimes, au cours d’un entretien dimanche à Kinshasa, en République démocratique du Congo.
« Il ne faut pas sous-estimer les violences basées sur le genre (VBG), surtout les violences psychologues dont sont victimes plusieurs femmes.
C’est pourquoi j’appelle à dénoncer pour sauver les victimes de la dépendance affective », a déclaré Espérance Palata, activiste des droits des femmes.
« L’impunité qui entoure souvent ces actes est alimentée par des institutions et des juridictions qui échouent à protéger les victimes.
C’est pourquoi, la prise de conscience collective est importante pour encourager les victimes à revendiquer leurs droits », a-t-elle enchéri.