Le ministre de la Défense, Guy Kabombo Muadiamvita en mission au Kongo-Central

«Des mesures sont en cours pour assurer la prise en charge de la santé des agents publiques et de leurs familles avant la fin 2025 », a déclaré le Président Félix Tshisekedi.
341 personnes, soit 78739 ménages dans 6 provinces, avec une cible supplémentaire de 31.500 ménages vulnérables dans la commune de Limete à Kinshasa.
Des résultats très encourageants de la gratuité des accouchementsPar ailleurs, le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, a salué les résultats positifs de la gratuité des accouchements.
« La revue de la première année des accouchements révèle des résultats très encourageants.
Le Président de la République a également précisé que 1.155 structures de santé ont été équipées, et que 45 500 enfants malnutris ont été pris en charge.

Dans ses répliques face à la coalition M23-RDF, a-t-il fait savoir, les Forces Armées de la République Démocratique du Congo ont pu reconquérir certaines localités stratégiques.
Selon Guy Kabombo Muadiamvita, ces prouesses se font sentir dans les différents fronts de la province du Nord-Kivu.
Situation sous contrôle au Sud-KivuDans sa note d’information, le VPM, ministre de la défense nationale et anciens combattants a évoqué les affrontements entre les FARDC et les forces négatives dans la province du Sud-Kivu.
Les actions décisives se poursuivent contre les autres groupes armés Red Tabara, Twirwaneho supplétifs des agresseurs dans la région”, a rassuré le VPM de la défense dans le compte rendu de la réunion.
“Dans la partie Ouest, les actions militaires se poursuivent dans le cadre de l’opération Ngemba pour mettre fin à l’activisme de Mobondo dans le triangle Kongo Central – Kinshasa – Grand Bandundu.

Dans un communiqué officiel, Kinshasa a accusé Kigali de poser des “conditions de dernière minute” en exigeant un dialogue direct entre la RDC et le groupe rebelle M23.
Kinshasa insiste sur le fait qu’aucune légitimité ne peut être accordée au M23, accusé de multiples violations des droits humains et d’occupation illégale de vastes territoires dans le Nord-Kivu.
Un nouvel échec pour la diplomatie régionaleCette annulation marque un nouvel échec pour les efforts de médiation dans la région.
Les divergences entre Kigali et Kinshasa sur la gestion du M23 illustrent les défis persistants pour parvenir à une résolution pacifique de la crise.
Kinshasa et Kigali continuent de s’accuser mutuellement de soutenir des milices armées opérant dans la région, exacerbant une situation déjà complexe et menaçant la stabilité de toute la région des Grands Lacs.