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Dans ce numéro de “C’est le ton qui fait la panique”, nous allons explorer les ressorts du langage xénophobe qui se développe contre les étrangers.
Quels dangers représentent ce genre de propos souvent violents et teintés de haine envers l’autre?
On en parle avec Alain-Joseph Lomandja, docteur en éthique sociale.
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Après avoir obtenu l’indépendance en 1960, Lumumba souhaitait collaborer avec des partenaires sincères dans une coopération gagnant-gagnant.
Symbole de la lutte contre l’impérialisme et le néocolonialisme en Afrique, Lumumba demeure une icône intemporelle de la souveraineté africaine.
Fabrice Saa Mbili estime que les acquis de son combat doivent être pérennisés pour renforcer la place de la RDC sur la scène internationale.
Patrice Emery Lumumba ne s’est pas sacrifié pour que nous nous éloignions de la voie qu’il avait tracée », a-t-il déclaré.
En rappelant le combat de Lumumba pour la souveraineté, la dignité et l’unité nationale, Fabrice Saa Mbili a appelé les dirigeants et la population congolaise à un examen de conscience.
Kinshasa, 17 janvier 2025 (ACP).- L’héritage artistique de la chanteuse gospel Marie Misamu de la République démocratique du Congo, décédée le 16 janvier 2016 mettant un accent sur son style de musique et les spécificités de sa voix, a été évoqué jeudi à Kinshasa dans un témoignage d’une artiste, à l’occasion de la commémoration du 9ème anniversaire de sa mort.
Selon elle, Marie Misamu faisait partie d’un cercle très fermé des chanteuses possédant une qualité vocale exceptionnelle.
Et de renchérir : ‘’ c’est une chanteuse qui nous manque énormément.
C’est grâce à ces participations que Marie Misamu commençait à se faire un nom.
L’artiste fait également des collaborations avec d’autres artistes musiciens chrétiens comme Charles Mombaya et elle a livré des concerts en Afrique et en Europe.
Mbanza-Ngungu, 17 janvier 2025 (ACP).- Le vice-Premier ministre en charge de la Défense nationale et anciens combattants, Me Guy Kabombo Muadiamvita, a débuté jeudi une visite d’itinérance dans la province du Kongo Central (sud-ouest de la République démocratique du Congo), 1ère zone de défense des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), a appris vendredi l’ACP de source administrative.
« Le Kongo Central est la 10ème province visitée par le vice-Premier ministre de la défense nationale, dans le cadre de son programme de tournée des provinces, en vue de palper du doigt les réalités du terrain », a indiqué la source.
Il a poursuivi sa visite à l’École de formation et d’application des troupes blindés (EFATBL) à Nsona Nkulu, où a été organisé un briefing.
Me Guy Kabombo Muadiamvita a aussi échangé avec les épouses, les veuves et les dépendants des militaires.
L’itinérance du vice-Premier, ministre de la Défense nationale au Kongo Central prévoit la visite des différents établissements et infrastructures de l’armée dans cette province.
Le général Luboya note les progrès réalisés dans la formation des militaires et des policiers, un domaine où la MONUSCO a joué un rôle clé.
Ces efforts ont permis de renforcer les capacités des forces de sécurité locales dans une province marquée par des conflits armés persistants.
La province continue de faire face à des violences sporadiques, alimentées par des groupes armés locaux et étrangers.
En ce début d’année, le général Johnny Luboya revient sur les progrès accomplis et les défis à venir.
Le général Luboya est l’invité de Radio Okapi ce vendredi 17 janvier.
Ce 17 janvier 2025 marque le 64e anniversaire de l’assassinat de Patrice Emery Lumumba, premier Premier ministre de la République démocratique du Congo et figure emblématique de la lutte pour l’indépendance.
À Beni, dans la province du Nord-Kivu, des acteurs sociaux estiment que la lutte pour une indépendance totale du pays reste inachevée.
Cela fait que la gouvernance de notre pays échappe toujours à la notion de planification.
Lumumba nous a fait accéder à l’indépendance, mais il nous a rappelé que nous devons nous battre pour notre indépendance.
Son combat pour la souveraineté et la dignité du peuple congolais continue de résonner dans les esprits, mais les défis qu’il avait identifiés restent d’actualité.
La Compagnie Air Congo a inauguré mercredi 15 janvier sa nouvelle ligne sur Kananga-Mbuji-Mayi-Kinshasa.
Les habitants de la province du Kasai central ont exprimé leur satisfaction, eux qui pour relier Kananga-Mbuji-Mayi, utilisaient les motos sur une route délabrée.
Vous savez qu’aujourd’hui, il y a beaucoup d’échanges entre les deux provinces.
Dès qu’il y a rareté à Kananga, on se rabat sur Mbuji-Mayi.
Il suffit tout simplement de voir la disponibilité, sur le marché de Mbuji-Mayi, finalement on tombe là-dessus »
Les FARDC ont réussi à déloger, ce vendredi 17 janvier matin, les rebelles du M23 de Kasake, une colline qui surplombe la localité de Ngungu, selon des sources dans la région.
Les mêmes sources signalent d’intenses combats, ce vendredi, autour de la localité de Ngungu, dans le territoire de Masisi.
L’armée a lancé depuis jeudi 16 janvier des offensives pour tenter de reconquérir diverses localités occupées, depuis quelques temps, par les rebelles du M 23.
Depuis la perte, la semaine dernière, de la localité de Ngungu, les FARDC ont multiplié leurs efforts pour sa reprise.
Les M23 ont été délogés de la colline de Kasake et ont largué plusieurs bombes en direction de Ruzirandaka.
Le président de l’Union pour la démocratie et le développement du Congo, (UDDC), Charles Bamana a salué, jeudi 16 janvier à Kinshasa, les combats politiques de Patrice-Emery Lumumba et de Laurent-Désiré Kabila.
Cet acteur politique estime que ces deux héros nationaux méritent le respect car, selon lui, le premier a libéré les Congolais du joug colonial et le second a sorti le pays du régime dictatorial de Mobutu.
L.D Kabila nous a amenés pour la libération avec son mouvement politico-militaire.
Tous sont des leaders mais tous n’ont pas mené le même combat »Selon Charles Bamana, Laurent-Désiré Kabila n’a pas achevé sa mission.
Il a lutté avec le stylo, le mental et les esprits.
Le ministre provincial de l’Éducation de la province du Mai-Ndombe, Justin Mulapi, annonce l’ouverture des procédures disciplinaires contre les enseignants qui ont saccagé les installations de la Caritas et de la Direction nationale de contrôle, de la préparation de la paie et de la maîtrise des effectifs des enseignants et du personnel administratif des établissements scolaires (DINACOPE) à Inongo.
Ces enseignants ont saccagé les installations et les biens de la Caritas ainsi que ceux de la Direction nationale de contrôle et de la paie des enseignants.
Mains ce que les enseignants ont fait, aller jusqu’à saccager et vandaliser, ça c’est inacceptable », a expliqué Justin Mulapi.
Réclamant leur salaire du mois de décembre 2024 non encore perçu, les enseignants de la province du Mai-Ndombe en colère, ont saccagé les installations et les biens de la Caritas diocésaine à Inongo.
Le responsable de la Caritas Mai-Ndombe, l’abbé Emmanuel Ndoyite, avait précisé que le retard de paiement n’est pas de la responsabilité de la Caritas, plutôt de l’Etat congolais qui n’a pas encore crédité les comptes de la Caritas pour payer les enseignants.
