CAF-C1 : « Pour notre fierté, il est impératif que nous nous battions pour gagner » (Lamine N’diaye)

Il appelle à se battre pour l’honneur et la fierté, tout en insistant sur la nécessité de gagner avec le soutien des supporters.
« Comme toujours, on joue les matchs pour les gagner, malheureusement ce n’est pas encore le cas.
Je pense que les garçons qui joueront ce match-là, ils le feront comme tous les matchs.
Je pense que ne serait-ce que pour notre honneur, notre fierté, on se doit de se battre pour au moins gagner ce match-là ».
Le rendez-vous est donc pris pour à 14 heures local.

CAF – C1 : « Il faut qu’on joue libéré » (Florent Ibenge)

Les soudanais premiers du groupe A avec 10 points et qualifiés pour les quarts de finale sont à pied d’œuvre.
De ce fait, « il faut qu’on joue libéré », soutient t-il en conférence de presse d’avant ce vendredi.
Pour l’ancien vainqueur de la Coupe de la confédération 2022 avec les Oranges de Berkane « c’est un match international il faut le jouer sérieusement.
Il faut qu’on joue libéré et qu’on puisse honorer le public qui fera le déplacement.
Il a toutes les qualités : la vitesse, les dribbles, la frappe mais il n’est pas le seul.

Conflits en RDC: Mukwege soutient l’initiative de la CENCO-ECC pour l’organisation d’une conférence internationale sur la paix au pays

Elles s’interrogent sur la disparition des valeurs sociologiques et spirituelles qui fondent l’ontologie de l’identité africaine et de la capacité des habitants à résoudre les problèmes sous l’arbre à palabres.
Sur X, l’ancien candidat président de la République qui constate l’impasse des initiatives sécuritaires, politiques et diplomatiques, en appelle à la redynamisation de l’accord cadre d’Addis Abeba et à l’organisation d’une conférence internationale de la paix au pays.
«Nous joignons notre voix à l’Appel à la Paix de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo et la Présidence de l’Église du Christ au Congo, confessions religieuses rassemblant une large majorité de la population congolaise.
Face à la menace existentielle à laquelle fait face notre Nation et à l’impasse dans laquelle se trouvent les initiatives sécuritaires, politiques et diplomatiques, nous appelons à la redynamisation de l’Accord-Cadre d’Addis Abeba et à l’organisation d’une Conférence internationale sur le Paix en RDC.
Ce qui sera une bonne préparation de la tenue d’une ” Conférence Internationale pour la Paix, le Co-Développement et le Bien-Vivre-ensemble dans les Grands Lacs » que nous estimons nécessaire pour mettre fin aux conflits transfrontaliers», ont-elles indiqué.

Un incendie cause la mort de 2 personnes dans la cité de Ihusi

Deux personnes sont mortes et au moins cinquante maisons commerciales ont été calcinées dans un incendie survenu dans la nuit de jeudi à vendredi 17 janvier à Ihusi-centre, dans le groupement de Mbinga-Sud, au territoire de Kalehe (Sud-Kivu).
C’est aux environs de 2h du matin que cet incendie s’est produit au centre commercial de cette cité de la chefferie de Buhavu faisant deux morts, rapporte une organisation de la société civile locale.
Des kiosques, dépôts de vivres, restaurants, pharmacies, salons de coiffure ont été réduit en cendres, fait savoir Kasole Martin, président de la « Société civile des compatriotes congolais ».
« Nous venons d’enregistrer plus de 50 kiosques, dépôts relais, deux jeunes garçons âgés presque de 16 ans qui venaient de rendre l’âme sur place.
Jusque ce vendredi, les causes de cet incendie n’étaient toujours pas connues.

Le président de l’assemblée provinciale de l’Ituri appelle le gouverneur à « assumer le bilan de sa gestion »

Le président de l’assemblée provinciale de l’Ituri, SamyJakwonga, a invité ce vendredi 17 janvier le gouverneur de cette province, le général Johnny Luboya à « assumer le bilan de sa gestion de la province pendant bientôt quatre ans de l’état de siège en tant que commandant des opérations militaires ».
D’après lui, le gouverneur « ne doit pas prendre les députés élus de l’Ituri pour bouc-émissaire pour l’échec de la pacification de cette province ».
Le gouverneur Luboya ne doit pas prendre les élus pour ses bouc-émissaires.
Samy Jakwonga dresse un bilan négatif de la gestion en état de siège de la province de l’Ituri.
Le président de l’assemblée provinciale de l’Ituri accuse à son tour le gouverneur de refuser la main tendue des élus provinciaux.

Changement de la Constitution en RDC : Les anciens Premiers ministres appellent à l’unité et se disent prêts à soutenir Félix Tshisekedi

À l’issue de leurs échanges, ils ont publié une déclaration dans laquelle ils abordent plusieurs points clés.
Tout d’abord, les anciens Premiers ministres déplorent et condamnent fermement les multiples agressions dont est victime la partie Est du pays.
Ils appellent également le peuple congolais, en particulier les populations de l’Est, à accompagner et soutenir le Président ainsi que les Forces armées dans cette bataille.
Ils se disent prêts à contribuer pleinement à ce débat de société, dans le but d’apporter les réformes nécessaires et fondamentales dans l’intérêt de la République.
Les signataires de la déclaration invitent également tous les acteurs à faire preuve de retenue et à privilégier l’intérêt supérieur de la République démocratique du Congo.

Ajustement du SMIG: la primature juge illégale l’arrêté du ministre travail

Kinshasa, 17 janvier 2025 (ACP).- Le ministre du Travail et de l’Emploi a été appelé par la Première ministre, Judith Suminwa, à reporter son arrêté relatif à l’ajustement du Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti (SMIG) en raison de vice de forme et d’incompétence matérielle, a appris l’ACP d’un communiqué de la Primature consulté vendredi.
« Monsieur le Ministre, je vous informe avoir reçu, en date du 02 janvier 2025, votre lettre référencée CAB/MINET/EAN/JDO/937/12/2024, datée du 31 décembre 2024, par laquelle vous me transmettez l’Arrêté ministériel mieux identifié en la matière.
En réaction, je note que ledit arrêté n’a pas respecté toute la procédure requise en la matière.
Selon le communiqué, La Première ministre a souligné l’importance d’impliquer toutes les parties prenantes, y compris le Conseil National du Travail, pour garantir une approche concertée et conforme aux exigences légales.
Dans son arrêté n°012 portant ajustement du salaire minimum interprofessionnel garanti dans les entreprises et établissements de toute nature en République démocratique du Congo, le ministre du Travail et de l’Emploi prévoyait le doublement du SMIG de 7 000 à 14 000 FC.

Faux ! Gianny Matali Movili n’est pas mort

ContexteUne image de la victime, allongée sur son lit à l’hôpital, a été largement partagée en ligne.
Cette photo, prise peu après son admission dans un hôpital de Lemba, a été utilisée pour soutenir la rumeur de son prétendu décès.
Les assaillants lui ont sectionné la main droite et infligé des blessures à la poitrine et à la tête à l’aide d’une machette.
Yanick Matali, le frère aîné de Gianny et son garde malade, a démenti la rumeur : « Tout ce qui se raconte sur Internet est faux.
»ConclusionLa prétendue mort de Gianny Matali est une fake news.

Beni : psychose et déplacement des agriculteurs après une attaque ADF à Mayangose

Les rebelles d’Allied democratic forces (ADF) ont de nouveau signé une incursion à Mayangose, une agglomération qui partage la limite entre la ville de Beni et le territoire, dans la nuit du jeudi à ce vendredi 17 janvier 2025.
Sur place, ils ont incendié plusieurs maisons des habitants, en majorité des cultivateurs avant de se livrer aux pillages des biens de la population.
L’attaque, qui est intervenue à Bungere, a créé le déplacement massif des habitants, en majorité des agriculteurs, vers le centre-ville, a expliqué une femme qui s’est sauvée miraculeusement des mains de l’ennemi lors de l’attaque.
D’après les témoignages des certains habitants interrogés à Mayangose, l’ennemi aurait pris la direction de Manzaka après le forfait.
Il sied de noter que cette attaque intervient une semaine après une autre vécue dans la même entité, sur l’axe Boikene-Kipeyayo.

L’imposture de la rhétorique rwandaise face à son agression à l’Est

Or, assimiler la situation actuelle en RDC à ce contexte relève d’une simplification dangereuse.
Elle appelle désormais à des sanctions internationales contre le Rwanda pour ses violations répétées de la souveraineté congolaise et des droits humains.
La responsabilité de la communauté internationaleEnfin, l’auteur appelle à une action internationale pour prévenir un prétendu « génocide » en RDC.
La RDC ne fait que se défendre face à une agression injustifiable, en utilisant des moyens légaux et diplomatiques.
Les faits sont clairs : le Rwanda est l’agresseur, et la RDC est dans son droit de se défendre.

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